Revue de presse des tests publiés sur le Web (Alienware M14x R2)

Découvrez ce jour un test du nouveau portable de jeu Alienware, le M14x R2.

Nous vous rappelons que les avis ci-après n’engagent que leurs rédacteurs. Nous nous efforçons dans la mesure du possible de retranscrire leurs sentiments et leurs propos de façon objective. Si vous êtes en désaccord avec les propos mentionnés, le plus simple est de prendre contact avec nos confrères.

Le modèle testé embarque la configuration suivante :

Comme à son habitude, Alienware propose une gestion complète du rétro-éclairage de la machine, qui peut donc être totalement tape-à-l’œil ou assez sobre en fonction des goûts de l’utilisateur. La construction est toujours aussi robuste, seul l’écran aurait pu être encore renforcé pour résister à la torsion. La finition des plastiques est agréable au toucher, un plus appréciable. Si l’offre connectique est semblable au modèle précédent, l’absence de port eSATA, Firewire et ExpressCard dérangera de moins en moins de monde avec la démocratisation de l’USB 3.0.

Le clavier ne cède pas aux sirènes marketing et emploie toujours un design traditionnel. Il est rétro-éclairé et offre un confort de frappe très agréable. Le touchpad est précis et la glisse est fluide. Il surpasse aisément ses concurrents, même s’il ne peut remplacer une souris pour les jeux d’actions.

L’écran dispose en option d’une définition de 1600×900 pixels, offrant une belle densité d’affichage. La luminosité est semblable à celle de l’ancien modèle, tandis que les noirs sont désormais plus profond. Le taux de contraste atteint donc un niveau excellent. Les angles de visions sont corrects, excepté à la verticale. Seul le traitement brillant de la dalle et le faible espace colorimétrique viennent ternir le tableau. Les haut-parleurs délivrent un son trop étriqué, les joueurs brancheront un casque ou un système d’enceintes externe pour profiter au maximum de la bande son de leur titre préféré.

Les performances sont en hausse, tant au niveau processeur que cartes graphiques. L’Intel HD 4000 n’est toujours pas suffisante pour un joueur, mais la GeForce GT 650M se montre à la hauteur pour la majorité des titres. Il est possible de jouer en définition native moyennent quelques ajustements de qualité graphique. À noter, le SSD est un peu limité en taille, il reste peu de place sur le système et sera probablement saturé avec le temps. Gros reproche en revanche, autant de puissance dans une si faible diagonale conduit à une forte chauffe en charge et un bruit de ventilation omniprésent en jeu.

L’autonomie en navigation Internet avec WiFi activé dépasse de peu les 4 heures.

Il obtient le score global de 86%.

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