Le marché de la Haute Définition ne décollera pas avant 2011 !

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L'ordinateur portable présenté ci-dessous a été commercialisé en 2008, et n'est plus en vente. Depuis, de nombreux modèles plus récents et mieux équipés ont vu le jour.

Après l’annonce du retrait de Toshiba et de son format HD-DVD tout semblait aller pour le mieux pour le camp de Sony et de son format Blu-Ray.


Les dernières études montrent qu’il ne fallait pas se réjouir trop rapidement.

En effet, plusieurs analystes constatent que les ventes de films Haute – Définition peinent à décoller. Le taux d’équipement des ménages demeurent encore très faible puisqu’il atteint difficilement les 1% aux Etats – Unis. Il faut avouer que le coût d’une platine Blu-Ray est encore assez élevé et les personnes qui s’équipent ne sont pas prêtes à renouveler leur DVD par les mêmes titres au format Blu-Ray.

Il faudra donc encore patienter au moins jusqu’à l’horizon 2010 pour voir la situation s’inverser. Les analystes prévoient en effet qu’à cette date le taux d’équipement atteigne les 25%, générant ainsi un revenu net pour les majors de 4.24 milliards de dollars contre 260 millions actuellement.

[Source : Cnet].

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3 réponses à “Le marché de la Haute Définition ne décollera pas avant 2011 !”

  1. Pas vraiment non….surtout que d’ici à 2011 la VOD se sera généralisée, la « victoire » de sony sur son concurrent est un cas d’école de victoire à la Pyrrhus…

  2. surtout que la « victoire » du blue ray n’est qu’une affaire de gros sous et de contrats juteux a court terme.
    Le HD-DVD avait pour interêt de pouvoir être produit sur les mêmes chaines de prod. que les DVD classiques avec très peu d’investissement. Cela aurait permis de produire dvd en masse au même prix que les DVD classiques, avec un petit effort sur les lecteurs…on se retrouvait avec une transition indolore de du DVD au HD.
    Mais ces messieurs ont préféré s’en foutre plein les poches maintenant et s’assurer les royalties au lieu de choisir un système pérene mais moins « rentable ».
    Tout est affaire de gros sous, même le « progrès »

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