Débutons la semaine avec un ultrabook convertible en tablette, le Toshiba Satellite Radius.
Voici les spécifications techniques de la configuration testée :
Dalle | 11.6’’ WXGA HD LED TruBrite tactile multi-touch 10 points ouvrable à 360° (1366×768, brillante) |
Processeur | Intel Celeron Dual Core N2840 Bay Trail-M (2.16 GHz, TDP 7.5W) |
Mémoire vive installée (max) | 4 Go (2 Go soudés + 2 Go) DDR3 1600 MHz (6 Go), 1 slot (occupé) |
Espace de stockage | 500 Go à 5400 tr/min |
Carte graphique | Intel HD intégrée au processeur |
Lecteur optique | – |
Système audio | 2 haut-parleurs DTS Sound |
Webcam | Oui, HD 0.9 megapixel avec micro |
Réseau | Wi-Fi b/g/n |
Bluetooth | Oui, Bluetooth 4.0 |
Lecteur de cartes | Oui, SD/SDHC/SDXC/MMC |
Sortie(s) vidéo | HDMI |
Lecteur d’empreintes digitales | – |
Entrée(s) / Sortie(s) | Combo CasqueMicro |
ExpressCard | – |
Firewire | – |
USB | 1 USB 3.0 + 1 USB 2.0 |
Système d’exploitation | Windows 8.1 64 bits |
Batterie | Li-Ion 2 cellules 26Whr |
Autonomie annoncée | 5h30 |
Dimensions (mm) | 289 x 199 x 21.9 |
Poids | 1.3 Kg |
Garantie | 1 an |
Autre | Clavier chiclet, touchpad multi-touch |
Logiciels | Applications Toshiba |
Le Toshiba Radius rejoint le marché des ultraportables abordables convertibles en tablette. A l’instar de ses concurrents, et sans surprise, le châssis est en plastique. La qualité est correcte mais sa surface brillante attire inévitablement les traces de doigts. L’ouverture de l’écran n’est pas des plus aisée, faute d’appendice prévu à cet effet. La connectique se contente de l’essentiel. La puce WiFi n’est pas très véloce. La webcam délivre quant à elle des images correctes.
Le clavier chiclet s’avère discret mais offre une expérience moyenne, la faute notamment à certaines touches étroites et une course aléatoire. Le touchpad est plus convaincant grâce à une glisse efficace et des dimensions généreuses.
La dalle est un modèle TN. Les angles de vision sont donc étroits. La luminosité est moyenne, tout comme la colorimétrie (DeltaE proche de 10). Le taux de contraste est en revanche mieux loti.
Equipé d’un processeur Intel Celeron, les performances sont modestes bien que suffisantes pour une utilisation basique (bureautique / web). Le disque dur est le goulot d’étranglement. Un SSD aurait été le bienvenu. La puce graphique convient pour les vidéos mais s’avère inadaptée aux jeux, exception faite de quelques titres (très) anciens.
A l’instar de nombreux modèles Bay Trail, le Toshiba Radius est dépourvu de ventilateur. Il est donc très discret, seul le disque dur est audible. Les températures sont bien contenues.
L’autonomie moyenne en navigation Web avec Wifi avoisine les 4h.
Il obtient la note globale de 72%.
Accédez au test du Toshiba Satellite Radius sur NotebookCheck
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