Place aujourd’hui à un test de la Surface Pro 3, la tablette Microsoft qui se veut une alternative aux ultrabooks.
Voici la configuration du modèle testé :
Dalle | 12″ Full HD+ IPS tactile multi-touch (2160×1440, brillant) |
Processeur | Intel Core i5-4300U Haswell (1.9 GHz, TDP 15W) |
Mémoire vive installée (max) | 4 Go (inaccessibles) DDR3L 1600 MHz (4 Go) |
Espace de stockage | SSD 128 Go |
Carte graphique | Intel HD 5000 intégrée au processeur |
Lecteur optique | – |
Système audio | 2 haut-parleurs |
Webcam | Oui, 5 mégapixels avec micro |
Réseau | Wi-Fi AC |
Bluetooth | Oui, Bluetooth 4.0 |
Lecteur de cartes | Oui, SD |
Sortie(s) vidéo | Mini DisplayPort |
Lecteur d’empreintes digitales | – |
Entrée(s) / Sortie(s) | Combo Casque/Micro |
ExpressCard | – |
Firewire | – |
USB | 1 USB 3.0 |
Système d’exploitation | Windows 8.1 64 bits |
Batterie | Li-Polymer |
Autonomie annoncée | 9 heures |
Dimensions (mm) | 201 x 292 x 9,1 |
Poids | 0,8 Kg (avec batterie) |
Garantie | 1 an |
Autre | Stylet N-Trig |
La Surface pro 3 profite d’un nouveau châssis plus mince et plus léger. Microsoft a également choisi un nouveau coloris gris. L’ensemble est de bonne facture et conforte le positionnement haut de gamme de la tablette. La connectique reste limitée même si l’essentiel est présent avec un port USB 3.0, une sortie mini-DisplayPort ainsi qu’une prise jack 3.5 mm et un lecteur microSD. En cas de besoin, il est toujours possible d’opter pour la station d’accueil qui permet de brancher bien plus de périphérique.
L’écran 12 pouces affiche un format 3:2 peu courant mais néanmoins particulièrement agréable à l’usage. Il s’agit d’une dalle IPS dotée d’une définition de 2160×1440 pixels. Pour plus de solidité, un verre Gorilla 3 est présent. La colorimétrie est excellente avec un DeltaE inférieur à 2 et près de 96% de l’espace sRGB couvert.
Le clavier est désormais un peu plus lourd. La taille des touches offre une frappe confortable, tout comme le touchpad. Un système de rétro-éclairage (réglable selon trois intensités) est présent. Le clavier peut se solidariser à l’écran grâce à un système magnétique. Il sert également à protéger l’écran lors du transport.
Autre nouveauté de la Surface Pro 3, la « béquille » est désormais réglable sur 150 degrés. Pratique et efficace pour s’adapter à toutes les situations tant sur les genoux que sur un bureau.
Le stylet a lui aussi été revu. Il est désormais actif et reconnait 256 niveaux de pression. En retrait par rapport aux 1024 niveaux du stylet capacitif de la Surface Pro 2. En pratique, l’amélioration est bien réelle, le stylet s’avère plus réactif et précis tout en offrant une sensation plus « naturelle ».
La Surface Pro 3 est disponible en plusieurs configurations, allant du Core i3 au Core i7 basse consommation Haswell. La version testée est équipée d’une Core i5. Les performances délivrées sont correctes. A noter l’impossibilité d’exploiter pleinement le mode Turbo du processeur, la température atteignant rapidement le maximum autorisé… Un inconvénient logique avec un châssis aussi fin.
L’autonomie maximale dépasse dix heures avec le WiFi désactivé. 2h30 en utilisation intensive.
Elle obtient la note de 4/5.
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