Test – Microsoft Surface Pro 4, la tablette Windows 10 de référence ?

La faiblesse de sa force...

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L'ordinateur portable présenté ci-dessous a été commercialisé en 2015, et n'est plus en vente. Depuis, de nombreux modèles plus récents et mieux équipés ont vu le jour.

Disponible depuis une dizaine de jours, la Surface Pro 4 incarne, comme son nom l’indique, la quatrième génération de la tablette selon Microsoft. Le leitmotiv quant à lui n’a pas changé : se positionner en alternative aux ultrabooks. C’est du moins l’ambition affichée par la firme de Redmond. Pari réussi ? Début de réponse après quelques jours passés en sa compagnie…

Test tablette Microsoft Surface Pro 4

Si les deux premières générations de Surface Pro souffraient de nombreux défauts de jeunesse, la troisième génération, commercialisée, en 2014 a marqué un tournant important avec un modèle bien plus abouti. La Surface Pro 4 s’inscrit dans la lignée. Pas de révolution donc, mais de petites évolutions destinées à améliorer l’existant comme nous allons le voir à travers cette prise en main.

Design

Esthétiquement, la Surface Pro 4 ne surprend guère (en même temps, il faut reconnaitre qu’il est difficile d’innover avec le form factor d’une tablette). La coque arbore le coloris gris de la précédente génération. Avantage, les traces de doigts y sont peu visibles. L’ensemble est sobre, bien fini, mais ne parvient pas à dégager la même impression qu’un iPad lors de la première prise en main.

Test tablette Microsoft Surface Pro 4

On retrouve à l’arrière de la coque le pied destiné à soutenir la dalle lorsque la Surface est associée à son clavier. Cette « béquille », qui peut s’articuler à loisir sur environ 160°, permet également de surélever légèrement la tablette quand elle est utilisée seule, sur un bureau ou sur les genoux. Pratique à l’usage même si son maniement laisse parfois planer quelques doutes quant à sa robustesse à long terme… D’aucuns pourront aussi lui reprocher de nuire quelque peu à l’esthétisme de l’ensemble. Pas faux, mais Microsoft a choisi, à juste titre, de privilégier le côté pratique. Il reste en revanche possible de débattre sur la présence de l’imposant logo Microsoft…

Avec 810g (1120g avec sa cover) sur la balance, le poids est assez bien contenu. Il est tout à fait possible de tenir la Surface Pro à bout de bras durant plusieurs minutes, et ce sans ressentir la moindre gène.

Test tablette Microsoft Surface Pro 4

Côté connectique, la Surface Pro 4 se contente du minimum avec un port USB 3.0, une sortie mini-DisplayPort et enfin, un lecteur de carte micro-SD (bien caché, il faut le reconnaître).

Test tablette Microsoft Surface Pro 4

Si les utilisateurs de GoPro et autres mini caméras y trouveront sans doute leur compte, bon nombre de photographes auraient sans doute préféré un lecteur compatible avec les cartes SD classique, bien plus répandues. Et si jamais vous vous sentez à l’étroit, il est toujours possible d’avoir recours à un hub USB voire à la nouvelle station d’accueil (environ 200€).

Test tablette Microsoft Surface Pro 4

Un bouton, situé en haut à gauche, permet de régler rapidement le volume sonore. A ce sujet, Microsoft a augmenté la taille des haut parleurs. N’espérez pas pour autant de miracle, la restitution sonore reste moyenne bien que disposant d’une puissance suffisante en pratique.

Affichage

Test tablette Microsoft Surface Pro 4

Si la Surface Pro 4 conserve un design semblable à l’ancien modèle, sa dalle atteint ici 12,3 pouces, toujours au format 3:2 (très appréciable pour la lecture de magazines, BD ou les photos issues de Reflex / Hybride), tandis que la définition progresse et atteint désormais 2736×1824 pixels, soit une résolution de 267 dpi pour une surface utile équivalente à 1368×912 avec le réglage par défaut qui redimensionne l’interface en 200%. Pas de souci de finesse, les caractères sont parfaitement définis et la lisibilité n’a rien n’à envier aux modèles de la firme à la Pomme. Il est par ailleurs possible de régler l’affichage en 175% voire 150% afin de profiter d’une surface utile correspondant à des définitions de respectivement 1563×1042 et 1824×1216 pixels. En dessous, l’affichage devient vraiment trop petit pour être utilisable. A ce sujet, il reste regrettable que certains programmes, voire des fenêtres Windows, ne soient toujours pas pleinement compatibles avec le HiDPI, avec pour conséquence, des textes et/ou icônes minuscules voire un affichage « pixelisé ». Dommage pour des modèles qui se veulent le haut de gamme des constructeurs. Sur ce point, Mac OS X a une nette longueur d’avance !

Mais revenons à la dalle de la Surface Pro 4. Sans surprise, il s’agit d’un modèle IPS. Les angles de vision sont donc ouverts. La colorimétrie est excellente, avec près de la quasi-totalité de l’espace sRGB couvert, un DeltaE proche de 3 après caractérisation. La luminosité maximale ne souffre d’aucun reproche et devrait permettre une utilisation en extérieur sans trop de souci et ce malgré la surface brillante de la dalle (même si sur ce point, il est bien difficile d’avoir un avis objectif en ce mois de novembre).

Adobe bridge 200% Surface Pro 4

Concernant l’interface tactile, rien de particulier à signaler. La navigation s’avère réactive, tant avec les doigts que lors de l’utilisation du stylet. Ce dernier évolue et est désormais sensible selon 1024 niveaux de pression. Au quotidien, et dans le cadre d’une utilisation « basique », pas de grief à son encontre si ce n’est parfois une certaine difficulté à sélectionner une barre de défilement verticale un peu trop étroite ou à cliquer à un endroit précis. Mais il s’agit là avant tout d’un « souci » logiciel et non matériel… Dans le cadre d’une utilisation orientée Photo, il est bien entendu possible d’utiliser le stylet pour effectuer des retouches et autres opérations de masquages. La précision est bonne, sans surprise supérieure à celle d’une souris mais sans égaler celle d’une tablette graphique Wacom, notamment du fait d’un très léger délai entre la saisie et l’affichage du tracé. Une phase d’apprentissage est toutefois nécessaire pour reprendre ses marques. N’ayant aucun talent en ce qui concerne le dessin, nous vous invitons à consulter les avis d’artistes ayant testé les Surface pour plus de détails à ce sujet.

Test tablette Microsoft Surface Pro 4

Le stylet peut également servir à écrire directement sur l’écran. Bien évidemment pour prendre des notes, mais aussi effectuer une recherche lorsque aucun clavier physique n’est présent, ou encore pour les allergiques au clavier tactile de Windows. La reconnaissance d’écriture est globalement satisfaisqnte, y compris avec une écriture manuscrite qui n’est pas des plus académiques. L’efficacité en revanche ne peut rivaliser avec une saisie au clavier.

Performances – Autonomie

La Surface Pro 4 embarque les nouveaux processeurs Intel Skylake basse consommation. Plusieurs configurations sont disponibles, à partir de 950€. Le Core m3 conviendra aux personnes ayant une utilisation axée sur la bureautique et la navigation sur Internet. Viennent ensuite, deux modèles à base de Core i5, plus polyvalents. Le premier est proposée à 1099 euros, le second à près de 1400€. Cette déclinaison est sans doute la plus intéressante de la gamme avec 8 Go de mémoire vive et son SSD de 256 Go. Viennent ensuite les modèles équipés de Core i7 dont les tarifs risquent d’en refroidir plus d’un… Une configuration intermédiaire, un peu plus abordable, avec un Core i5, 8 Go de mémoire vive et un SSD de 128 Go aurait sans doute intéressé les utilisateurs qui voient en la Surface une machine de complément. Mais Microsoft a visiblement choisi de pousser vers le modèle que nous avons testé, à savoir la Surface Pro 4 équipée de 256 Go de SSD et d’un Core i5-6300U.

Bench SSD Surface Pro 4

A l’usage, la Surface Pro 4 s’en sort bien. Les performances sont au rendez-vous, y compris en utilisation multitâche. Bien entendu, il s’agit d’un processeur basse consommation, il n’a donc pas vocation à rivaliser avec un modèle plus encombrant équipé d’un processeur Quad Core. Concrètement, vous pourrez sans souci surfer avec de multiples onglets ouverts, tout en ayant plusieurs programmes en arrière-plan. Photoshop, Lightroom et autres programmes du genre s’exécutent de façon assez fluide, encore une fois en ayant conscience des limites de ce type de configuration basée sur une plateforme basse consommation. Et bonne nouvelle, par rapport à la génération précédente, la Surface Pro 4 ne souffre guère de problèmes de températures. Le châssis reste tiede, la fréquence processeur ne chute pas outre mesure en charge prolongée et, autre bon point, le ventilateur est la plupart du temps inaudible. Saluons au passage les excellentes performances du SSD (Samsung) à la norme NVMe (bien qu’à l’usage il est difficile de percevoir la différence avec un SSD « classique » en SATA III).

Si la nouvelle génération de processeur Intel offre, sur le papier du moins, une meilleure gestion de l’énergie, en pratique, l’autonomie reste proche de celle rencontrée avec la Surface Pro 3. Tablez sur une moyenne de six heures, avec le clavier connecté, WiFi actif et luminosité à 50%. En diminuant cette dernière à 25%, il est possible de gagner une bonne heure. Une autonomie moyenne qui laisse donc un sentiment mitigé, certains ultrabook étant largement mieux lotis sur ce point (mais au prix d’un poids plus conséquent sur la balance il est vrai).

Type Cover, l’accessoire indispensable

Test tablette Microsoft Surface Pro 4

Microsoft continue de commercialiser son clavier séparément, au prix de 150 euros (et décliné en cinq coloris). Un choix qui de prime abord peut permettre de limiter la facture pour les utilisateurs prêts à faire l’impasse sur un clavier physique. En pratique, l’achat du Type Cover s’avère vite incontournable. Non pas qu’il soit impossible d’utiliser la Surface Pro 4 sans, mais comme nous l’avons déjà évoqué brièvement, il faut se rendre à l’évidence, Windows 10 reste un système d’exploitation conçu pour être utilisé avec un clavier et une souris. Des progrès ont certes été fait ces deux dernières années mais objectivement, la marge de progression est encore grande pour pleinement rivaliser avec l’expérience tactile offerte par iOS…

Test tablette Microsoft Surface Pro 4

Mais revenons plus en détails sur cette nouvelle Type Cover. Microsoft a tenu compte des griefs à l’encontre du précédent modèle et propose un nouveau clavier pour accompagner la Surface Pro 4. Principale nouveauté, des touches mieux espacées et dont le toucher est désormais très proche de celui offert par n’importe quelque clavier de PC portable. A l’usage, nous ne pouvons que saluer ce nouveau clavier, la frappe est efficace, confortable et assez discrète. La cover de la Surface Pro 4 (aussi compatible avec la Surface Pro 3) n’a pas à rougir et se révèle même bien plus confortable que certains claviers traditionnels. Et en prime, un système de rétro-éclairage (avec intensité réglable) est présent.
Le touchpad profite quant à lui d’une surface plus vaste. Plus pratique pour naviguer ou exécuter des gestes multitouch. L’efficacité et le confort sont dans la moyenne. Des progrès sont encore possibles concernant le touchpad.

Test tablette Microsoft Surface Pro 4

Terminons par un mot sur la rigidité de l’ensemble ainsi formé par la tablette (soutenue par son pied) et la cover. Il est effectivement possible de l’utiliser, à l’instar d’un ordinateur portable classique, posé sur ses genoux. Toutefois, et sans surprise, la stabilité n’égale pas celle d’un ultrabook. Rappelons que la cover sert également de protection lors du transport. A ce sujet, un aimant afin de la solidariser davantage lors du transport serait le bienvenu.

La Surface, la tablette capable de remplacer votre ordinateur ?

Test tablette Microsoft Surface Pro 4

C’est du moins la promesse faite par Microsoft et l’axe de communication choisi par la firme de Redmond. Et dans l’absolu, force est de constater que oui, la Surface Pro 4 peut bien remplacer un ordinateur portable. Vous pouvez sans souci installer la suite Office, Lightroom ou tout autre logiciel fonctionnant sous Windows. D’aucuns seront ainsi rassurés par ces possibilités quasi infinies et cet environnement connu.

En pratique, et après quelques jours d’utilisation, un sentiment plus mitigé se dégage toutefois. Comme évoqué précédemment, Windows reste un système d’exploitation peu adapté au tactile. Utiliser la Surface Pro sans sa cover peu ainsi vite devenir laborieux si l’interface du logiciel fait la part belle aux (petites) icônes et menus particulièrement fournis (d’autant que sans clavier, vous ne pourrez pas compter sur les raccourcis). Et là, l’expérience utilisateur laisse un goût pour le moins amer.

Alors oui, il est possible d’utiliser Photoshop, Autocad, Excel ou tout autre logiciel dont Apple ne veut entendre parler tout en sauvegardant ses fichiers sur sa clé USB préférée. Mais sans tomber dans la « fermeture » d’iOS, il serait souhaitable que Microsoft revoit sa copie, quitte à froisser certains utilisateurs / partenaires un peu trop conservateurs afin de renforcer le côté tactile de son système d’exploitation. Les bases sont là, il manque « juste » une certaine cohérence afin de soigner l’expérience utilisateur à laquelle tout acheteur d’un produit haut de gamme aspire. Sans ça, la tablette est sans doute condamnée à un marché de niche. Ce qui est dommage car, matériellement, la Surface Pro 4 est une réussite !

Test tablette Microsoft Surface Pro 4

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22 réponses à “Test – Microsoft Surface Pro 4, la tablette Windows 10 de référence ?”

  1. « Il reste en revanche possible de débattre sur la présence de l’imposant logo Windows » : petite erreur il s’agit du logo Microsoft, depuis 2012 ! Au même titre que la présence des imposants logos Apple sur les ipad donc 😉
    Le logo windows est un drapeau pour 7, et en « oblique » pour 8 et 10

  2. Bonjour
    La surface 4 pro chauffe t elle ? Et y aura t il une version 4G
    Merci beaucoup

  3. Sympa le test pas du tout orienté fanboy Apple ! Il y a bien 5 ou 6 références. Par contre pas de référence avec du matos PC équivalent pour une comparaison qui aurait été bien plus intéressante. Bref test biaisé pour pas changer.

  4. Ouais tellement fanboy Apple que je remplace un iPad par une Surface ! Loupé le troll…

  5. @Yannick : aucun souci de chauffe et pas de déclinaison 4G pour le moment (malheureusement)

  6. Merci pour la réponse. Je la prendrais quand même en était déçu et étonné que pour une tablette pro il n’y a pas de 4G.
    Merci

  7. Pas de 4G mais en même temps tu peux passer ton tel en mode bridge.
    J’ai la SP 3 depuis 1 an et je n’ai jamais eu le besoin de la 3G. Quand je veux aller sur le net quand je suis en déplacement, je passe mon tel en bridge.

    Pour le côté tablette, je ne suis pas d’accor. C’est un vrai régal d’utiliser W10 en mode tablette. Un vrai plaisir du point de vue ergonomie…j’ai dû mal à comprendre à l’article sur ce point. En même temps, ce n’est pas en quelques jours que l’on peut apprécier la surface.

    Je vous rassure que le mode continuum est une tuerie…et bien mieux conçu que l’ipad…qui ne permet de faire que de la consommation de données. Il ne faut pas l’oublier

  8. De nouveau un article orienté… :
    – Pourquoi démarrer sur un ton médusé dès le début du test lorsqu’on aborde le design (qui en plus est un critère tout à fait subjectif) d’autant plus que les formes de la gamme Surface se distingue des autres tablettes par son design industrielle aux tranches plus marquées… (Design – Paragraphe 1)
    – On compare ensuite une ‘impression’ avec l’iPad, mais une impression de quoi ? De solidité ? De finesse ? De qualité ? Ou juste une comparaison pour marquer un semblant de supériorité sans ni savoir l’expliquer ni le communiquer… De plus, pourquoi comparer à une tablette si en début de test vous le placiez parmi les ultrabooks? (Design – Paragraphe 1)
    – Doute de la robustesse de la béquille à long terme ? Suffit de se référer à une Surface Pro 3 qui a maintenant 1 an et qui est la même. Pour info, elle tient bien. Pourquoi toujours chercher la petite bête, au lieu de présenter la raison d’être de la béquille et ses avantages à l’usage ? Quand un concessionnaire vous présente le toit ouvrant d’une voiture, qu’est-ce qui vous semble plus logique de dire : « la voiture a un toit ouvrant, attention en hiver, si vous l’ouvrier vous pourrez avoir froid » ou « la voiture a un toit ouvrant, cela vous permettra notamment d’aérer par le toit, ce qui est très agréable en été! »… Parce que dans ce paragraphe, vous parler de la béquille d’un point de vu technique (ce qu’elle fait : c’est une béquille) et ce qu’on attend d’un test (de plus qu’une fiche technique) c’est l’expérience utilisateur – mais pourquoi quand vous le faites, vous présentez uniquement l’expérience ‘probablement’ (puisqu’en plus c’est injustifié) négative ? (Design – Paragraphe 2)
    – Pour le poids, pourquoi parler de « poids assez bien contenu » au lieu « d’étonnante légèreté » comme vous aviez surement du le faire pour un MBA en son temps – puisque la Surface n’a pas de device mainstream aussi léger en concurrent (le MBA 11″ pèse 1,08 kg et le MBA 13″ 1,35 kg, soit 40% plus léger qu’un MBA 13″… Même le MacBook a le droit à la formule « poids plume » – article du 9 mars 2014 – pesant pourtant 900 gramme, donc 100 gramme de plus. Oui la SP4 n’a pas le clavier pour 800 gramme, mais le MacBook joue dans la cours d’en dessous niveau specs. Donc l’écart de masse entre le MBA et la SP4 justifierait un qualificatif de poids plume… voila ce qu’on vous reproche, vos formules de phrase qui orientent la perception d’un produit)
    – Je comprends que vous parliez de connectique légère, puisque la SP4 se compare à un ultrabook ; donc je reviens sur le début de l’article qui comparait la SP4 à un iPad…. Soit vous comparez que aux ultrabook (parlez donc d’une finesse et légèreté exemplaire, mais une connectique faible) soit vous comparez aux tablettes (et vous parler d’un device qui est plus encombrant, mais avec une connectique développer et des usages plus variés etc.) ou alors vous comparez avec les deux (comme vous l’avez fait) mais dans ce cas là ne faites pas les comparaisons que pour relever des points négatif ! C’est en ces raisons qu’on a l’impression de lire un article biaisé.
    – Pour la restitution sonore, pareil vous donnez un jugement qualitatif de médiocre, puisqu’on suppose que dans ce cas ci vous comparer à des laptop… mais comparez à des tablettes et notamment le mainstream iPad air, et les haut-parleur de la Surface relèvent ici du miracle, rien que pour le stéréo. Encore une comparaison hiérarchique sans spécifié l’étalon…
    – Pour le jugement de la dalle, je vous laisse vous référé à des test complet, qui la place comme supérieur en de nombreux points à celle des MacBook ou iPad Pro. Donc peut-être qu’au lieu de dire « qui n’a rien à envier » on pourrait formuler « qui surpasse ».
    – Le passage sur la résolution et sa modification… est-ce réellement utile de dire qu’en modifiant la résolution à l’extrême, l’usage devient impossible ? Que ce soit sur un PC sous Windows ou MacOS, avec une dalle inférieur à 13″, si on pousse l’affichage au maximum, l’interface présente systématiquement des tailles d’icônes et de bouton frôlant l’inusabilité…
    – Quand vous revenez sur la dalle de type IPS, pourquoi formuler avec lassitude « sans surprise » au lieu de formule plus dynamique et méliorative ? D’autant plus que l’écran dispose réellement d’une qualité exemplaire, relevé par de nombreux autres testeurs. Le paragraphe est suivi de nombreux indicateurs de qualité avec de très bon résultat, alors pourquoi continuer sur ce ton dégradant : « la luminosité (…) ne souffre » (négation + verbe néfaste ; oui cela peut être un choix d’écriture, mais dans ce cas là ne vous étonnez pas que l’on qualifie l’article d’orienté. Ou si vous vous en étonnez, faites un effort plus tard pour conserver un enthousiasme honnête envers la qualité du produit, quel qu’il soit.
    – Interface tactile, au lieu de dire : « tout fonctionne bien/parfaitement » vous optez pour la formule inverse : « rien de particulier à signaler »… Oui ça veut dire la même chose, mais non ça n’évoque pas la même chose.
    – Pourquoi quand vous présentez la possibilité d’écrire avec le stylet au lieu de frapper sur le clavier virtuel, vous tenez à préciser « clavier tactile DE Windows » ? Effectivement certaines personnes n’apprécient guère les claviers virtuel, mais ce de Windows en particulier j’en n’ai jamais entendu parler… Même sur des reviews négative de produit. Alors pourquoi le préciser alors que ça évoque l’idée que des personne puisse pas ne pas aimer les claviers virtuelles, mais les claviers virtuelles de Windows, par rapport à d’autres OS. Alors que dans l’absolue, pour en avoir essayer différent sur les OS de tablette, il n’y a pas de différences notables autres qu’esthétique. Android, Windows et iOS proposant tout trois des clavier réactif, avec prédiction de mots, gestion des accents, disposition standard des caractères, etc…
    – Vos remarques concernant l’usage de Windows 10 conçu pour clavier et souris en priorité, sont à modérer voir contester : l’usage en mode tablette est étonnamment confortable (avec gestion du split screen, interface full screen, fleche retour universelle aux apps, raccourcis pour la recherche, gesture pour multitâche, gesture pour fermeture d’app, gesture pour centre de notification, etc.) ainsi que de nombreuses optimisations qui rendent l’usage d’un trackpad multipoint de précision plus confortable que la souris dans de nombreux usage de part le scrolling avec gestion de rebond et d’inertie (dans l’ensemble des apps du store, des nouveaux menu : démarrer, centre de notification, etc.). Donc concernant les reproche de l’OS au tactile, je ne comprends pas vos réserves. D’autant plus que les apps desktop n’ont pas vocation à être utiliser au tactile, donc une critique se reposant sur cette exemple serait déplacé : il ne me semble pas que vous reprochiez à iOS et Android de ne pas faire tourner de programme desktop ou de ne pas avoir de gestion de périphérique de pointage en natif ; l’usage d’un OS de tablette se réduit à l’utilisation des apps pour ces deux derniers OS, alors pourquoi chercher à étendre le tactile à d’autres usages pour Windows ?
    – « La cover (…) n’a pas à rougir » – toujours cette même formulation négative.
    – Le touchpad dans la moyenne ? Et bien je serai heureux de connaître l’étalon de cette moyenne. Les touchpad des Surface Pro 4 et Surface Book étant systématiquement qualifiés des meilleurs trackpad de PC sous Windows ; et égalables à ceux des PC sous MacOS dans les applications ou programmes optimisés pour : app du store, Edge, IE, etc. (mais moins agréable pour d’autres situation comme les programmes desktop non optimisés et même l’explorateur, mais ici c’est du soft, pas du hard. Par-contre j’espère que vous ne vous êtes pas cantonnez à Chrome ou Firefox pour tester la navigation web aux trackpad… parce que ceux-ci sont catastrophiques en comparaison de Edge ou IE)
    – Toujours les mêmes rengaines sur la fin, concernant la stabilité de la Surface Pro sur les genoux (pour ma part ne rencontrant pas de difficulté (mais on s’en fou) mais pourquoi encore une fois parler de point négatif, alors que la béquille a tant d’avantages : stabilité sur surface molle (points de contact diminué – cf un peu de physique), stabilité égale sur surface rigide, possibilité de la faire tenir à une infinité d’angle sans accessoires (et là niveau expérience utilisateurs, il y a de quoi faire : posé sur les genoux presque à plat en regardant la télé, sur le lit debout pour regarder un film, incliné à 45 degré pour surfé quand on est allongé dans son lit, debout sur le plan de travail de la cuisine pour suivre une recette, légèrement incliné pour dessiner, etc. Et tout ça sans accessoire et avec plus de stabilité et de possibilité que n’importe quel accessoire qui en plus rajouterai de la masse et de l’épaisseur. Sans parler du fait que la béquille empêche l’écran de trembler quand on utilise le tactile, contrairement à tout autre PC avec une charnière qui ne sera jamais assez résistante (#WoblingEffect de la Surface Book) ou lorsqu’on l’a sur les genoux dans un train ou les vibration sont présentes, mais n’affecte pas la Surface de part sa béquille. Donc stabilité insuffisante… bien vite dit (trop vite dit).

    Tout ceci n’est pas réellement un coups de gueules, mais une lassitude de voir des articles ou rédacteurs parlant de test non biaisés, alors que l’écriture est pleine d’expressions orientées, les comparaisons entre produit jamais à l’avantage de la Surface, et jamais en cohérence (parfois vs tablette, parfois vs laptop).
    Mais la Surface est loin d’être un produit parfait ! Ne serait-ce que la batterie, qui reste limite sans être ridicule.
    Ceci n’est pas un écrit pour défendre le produit, mais pour vous inviter à comprendre l’orientation de votre écriture qui n’est pas impartiale.
    Ensuite à vous de choisir : prendre conscience et ne pas s’en satisfaire pour changer, ou admettre et affirmer le choix d’écriture au désavantage de certains produits.

  9. il est vrai que parler de Apple alors que le titre est « la tablette windows 10 de référence ? » est … comme dire… inaproprié.
    en effet, Apple n’a pas la chance d’utiliser Windows 10, ils restent limité avec iOS. donc parler de Apple est hors sujet.
    Je dirais aussi que la tablette de Apple ne permet pas un positionnement a plusieurs angles, permettant d’adapter la position a l’utilisateur (et non la chaise de bureau), ce qui est un enorme plus, d’Ailleurs le doc de la Surface Pro 4 permet de conserver cet angle custom, la ou le doc de la surface 3 limitais l’inclinaison, c’est donc un excellent point positif.
    aussi le clavier fonctionne avec un surface pro 3 et pas seulement un 4.
    Aucune mention de Hello… bizarre… ah non… c’est propre a Microsoft et non a Apple, donc on en parle pas 😉
    Se connecter juste en regardant l’Ecran avec un systeme tres difficile a contourner comparé aux empreintes digitales. Microsoft offre donc un systeme plus efficace et sécuritaire, ce qui plais beaucoup aux department IT.

    maintenant pour une vraie comparaison, le marché c’est bien ouvert on trouve des tablettes a gogo et des pc convertible a gogo aussi 🙂 tout le monde y trouve son compte avec des design et des puissances differentes. (quel dommage que personne ne puisse faire des tablettes iOS non-Apple…)

    et j’aurais aimé une meilleure autonomie pour les long voyages. pour le quotidien, 6h c’est plus que suffisant.

  10. Donc si je comprends bien, il ne faut surtout pas comparer la Surface à un iPad et dès qu’on émet des critiques / réserves le test est orienté…

    Alors, oui, iOS (ou Android) est limité, reste que ce qu’il fait, l’expérience tactile est au top. La Surface, désolé pour les fanboy mais non, on en est encore loin en l’utilisant uniquement en tactile (stylet ou doigt). Il faut régulièrement appeler le clavier tactile, le fermer voire le rappeler parce qu’il s’est fermé sans raison. Idem pour de nombreux logiciels où c’est la galère pour cliquer où on veut (même en 200%). C’est utilisable, c’est certain mais c’est juste peu efficient. Résultat, on fait quoi ? Bah on branche la cover pour retrouver l’efficacité qu’on attend. Et là, bah on n’a plus une tablette mais un ultrabook. Et pour moi, c’est bien là tout le problème. Microsoft la vend comme une tablette alors que Windows la cantonne à une utilisation avec clavier et trackpad. Et en ultrabook, le choix est vaste et à des tarifs bien moins onéreux que la Surface (quand je vois le petit Zenbook à 755€ avec une config très proche ou encore un Toshiba Kira qui fait le même poids que la surface et sa cover…)

    La béquille, oui, elle est pratique, c’est d’ailleurs mentionné. Mais objectivement, elle donne l’impression qu’elle va nous rester dans les mains si on ne fait pas attention et qu’on la manipule un peu trop brusquement. A priori, ce n’est pas le cas, heureusement.

    Windows Hello, oui, pratique, à condition de ne pas porter des lentilles dans la journée et des lunettes le soir… Le navigateur Edge, une fois sur deux, il faut recharger la page. Pourquoi, aucune idée ? Et bizarrement, aucun souci sous FF ou Chrome. Les appli Windows optimisées pour le tactile ? Soit aussi limitées que celles sous iOS, soit inexistantes. Rien pour Capture One, Lightroom, Indesign par exemple pour citer ceux que j’ai l’habitude d’utiliser sur un PC. Résultat, bah on se retrouve sur les logiciels Windows avec la nécessité d’utiliser la cover. Exit une nouvelle fois la tablette au profit de l’ultrabook.

    Bref, désolé pour les fanboy MS, comme je le dis en conclusion, matériellement, c’est une réussite (en dehors d’une autonomie un peu juste mais vu le poids, c’est logique), ce qui n’est pas (encore) le cas de Windows et des logiciels tiers qui ne sont pas (encore) optimisés pour une utilisation tactile. C’est bien là le problème, il faudrait que Microsoft trouve un levier pour pousser les éditeurs vers une meilleure prise en charge du tactile. Et qu’ils assument aussi cette limite en intégrant d’office la cover.

  11. Ce n’est pas du fanboyisme mais une réalité, la SP3 et la SP4 est bien supérieure que le MBA.
    Il y a quand même pas mal de sociétés (je ne vais pas les nommer) qui utilisent des SP3 ou 4. La SP est versatile et s’adapte à tous usages. On peut l’utiliser n’importe où..et c’est un régal car je suis tout le temps productif.

    Mais bon, bous avez dû tester la tablette pendant 1 semaine environ…pas le temps de vous en rendre compte.
    Et encore sur cette semaine, vous l’avez utilisée pendant 1 h, 2h par jour !! avant de revenir sur votre Imac ?

    Enfin, entre nous, sur les forums Apple, beaucoup envient la SP…;-) mais ça vs le savez.

  12. Perdu, je l’ai depuis sa sortie, donc une bonne dizaine de jours, et utilisée de façon quasi-exclusive, y compris pour la rédaction des articles.

    Et que la Surface soit utilisée par « pas mal de société », je ne vois pas le rapport. Et oui, avec sa cover, on peut être productif, je n’ai jamais dit le contraire, sans c’est une autre histoire dès que l’on sort de la consommation passive comme on peut le faire avec une tablette sous Android / iOS, mais ça vous ne voulez pas l’entendre… Je rappelle que les Surface sont des tablettes à la base, pas des convertibles. Et désolé d’être borné mais pour moi, une tablette dont le potentiel ne s’exprime pleinement qu’avec un clavier et un touchpad, ca me laisse un sentiment mitigé.

    Et perdu, une nouvelle fois, j’utilise une tour sous Windows le reste du temps pas de Mac 😉 Quant au MBA, idem, et ce n’est même pas moi qui en parle. Perso en dehors de l’autonomie, je n’y vois aucun intérêt, les Retina sont bien supérieurs au MBA.

  13. Pour moi le vrai problème est le port unique USB, qui de plus, je suppose, comme pour la Surface Pro 3, est incompatible avec les lecteurs de DVD.
    Pour cette raison je pense prendre un Yoga 900 et pourtant le poids et les dimensions me conviendraient parfaitement.

  14. Utilisateur d’une surface pro 3 je trouve au contraire que le test a le mérite de mettre en lumière le positionnement bancal de la surface. Je m’explique.

    Je travaille dans un groupe de BTP et passe la majorité de mes journées en réunion de chantier pour prendre des mesures et vérifier des plans essentiellement. Jusqu’à peu, nous avions toujours utilisé des Thinkpad 12/13 pouces mais depuis l’année dernière nous avons basculé sur des Surface Pro. Sur le papier, la tablette Microsoft correspond parfaitement à nos besoins qui restent assez simples :
    – répondre aux mails (outlook)
    – rédiger cahier des charges pour répondre aux appels d’offre (word/excel)
    – pouvoir se connecter à un serveur via vpn (y compris en déplacement)
    – Autocad voire solidworks pour certains collaborateurs
    – quelques prologiciels maison

    Quand nous avons reçu les surfaces, nous étions ravis. Moins encombrante et plus sexy que nos briques IBM, légère, bel écran et surtout la promesse de pouvoir l’utiliser en tablette debout en appui sur le bras. Le pied… Et bien, croyez moi on a vite déchanté ! Un exemple parmi d’autres : faire une modification simple sur Autocad avec le stylet est un enfer. Les éléments sont trop petits, on sélectionne le répère d’à côté à chaque fois !!! Obligé de zoomer puis dézoomer en permanence. on perd un temps fou comparé à la même manip au touchpad. Quant à tenir la surface + le clavier à bout de bras… bien moins stable qu’avec un portable classique. Et des exemples comme ça on en a malheureusement plein. Qui blamer, Microsoft ou les éditeurs, franchement ce n’est pas notre problème, ce qu’on constate c’est que l’efficacité sans la clavier n’est pas là, point ! Avec par contre on a bien le même confort qu’avec n’importe quel portable mais à condition de l’utiliser en appui sur une surface dure.

    Autres déceptions, la batterie qui après un an qui peine à tenir jusqu’à midi… L’impossibilité de mettre une puce 4G (oui, ca marche en partageant la connexion du smartphone mais la manip prend 1 min à chaque et décharge la batterie à vitesse grand V quand on en a besoin plusieurs fois par jour, c’est peu pratique surtout quand on était habitué à avoir une puce intégrée). Le pied est effectivement pratique sauf si on est debout. Et il est fragile (mais si je reconnais qu’on a une utilisation intensive et que certains ne sont pas très soigneux). Bon point, il est remplacable moyennant 200€ TTC…

    Le bilan est donc pour le moins mitigé au final et on repasse sur des Thinkpad en 2016 ! Pourtant sur le papier la surface correspondait parfaitement à nos besoins.

  15. Bonjour
    Je vais acheter la surface pro 4 i5 mais j’arrive pas a me decidé si je prend la 8go ou si la 4go me suffira a savoir que je fais un peu de montage video (mais pas a haut niveau)
    Aussi je me demandais comment marche le clavier tactil? s’affiche t’il tout seul lorsqu’on en a besoin (si le typecover n’est pas connecté)
    Si quelqu’un peu me renseigner merci d’avance

  16. salut pour le clavier tactile un petit icone en bas à droite un coup de doigt dessus et hop il apparait. si tu fait du montage vidéo je te conseil la 8 go surtout si tu utilise des soft comme after effects . je possède la 4 pro I7 / 16 Go, je m’en sert partout les seul gros reproche pour moi sont l’autonomie et l’impossibilité pour l’instant de branché une batterie de secours comme l’on trouve partout maintenant (notamment pour les Smartphones). sinon moi je l’adore elle est le prolongement de mon PC qui et trop gros pour être utilisé partout. je l’utilise pour visionné des vidéos, pour Excel, pour prendre des notes (elles s’en sort pas mal du tout) et pour Photoshop …. bref si je pouvais régler le problème de l’autonomie ce serais super (il suffirait qu’il sorte leurs putai….. de prise propriétaire (encore une aberration pour faire comme Apple, ils n’ont pas compris que les gars qui cherche ce type de produit c’est pour fuir Apple et sont verrouillage complet de leurs appareil) en version câble USB de l’autre pour que l’on puisse branché des batterie d’appoint). sinon point négatif le driver de la carte graphique plante assez régulièrement (vivement un correctif) et le wifi semble lent (alors là aussi un petit correctif serait le bienvenu)

  17. Merci pour ta réponse Yannick
    Mais je me demandais avant j’utilisais adobe premiere sur un pc tout pourrit, il ne tournerai pas mieux sur une sp4 i5 4go?

  18. cela dépend de ta version de première si c’est une ancienne version c’est évident maintenant si c’est la CC et que tu veux travailler sur du QHD 4 go tu risque d’être un peu limite . je ne connais pas le fonctionnement de première( mais je sais que after effect travaille mieux avec un max de mémoire), et malheureusement du fait en plus que n’auras pas une vrai carte graphique je pense que la version 8 sera préférable. mais je ne connais pas ton budget ta version de première et le type de montage que tu fais. courage le choix et toujours difficille

  19. Bonjour,
    Même si cet article date de plusieurs mois, je pose la question…
    Je suis photographe pro et j’utilise mon vieil iMac de 2011 pour bosser sur le traitement de mes photos. J’envisage de prendre une surface pro 4, MAIS j’hésite…
    Est ce que c’est pratique de travailler dessus plusieurs heures ? Est ce que la tablette ne chauffe pas ? Est ce assez puissant ? je suis abonnée à adobe et dispose donc des dernières versions CC des logiciels lightroom et photoshop. Je fais également beaucoup d’images sur photoshop.
    Ce serait pour une utilisation le soir à la maison ou en déplacement quand on part plusieurs jours et qu’on ne déplace pas son poste de travail. Actuellement, je bascule sur un airbook de 2012, mais bon, il a déjà largement atteint ses limites même après un formatage.
    Du coup j’ai envie de changer de crèmerie tant qu’à faire, surface pro 4 ou pas ?? Et quelle configuration semble la plus adaptée, sans taper dans la facture plein pot, parce que ça coute un rein et deux yeux cette bestiole. Pas envie d’être déçue.
    Merci pour votre réponse 🙂

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