Revue de presse des tests publiés sur le Web (Asus ZenBook Infinity UX301LA – 2560×1440)

Cet ordinateur portable n'est plus vendu
L'ordinateur portable présenté ci-dessous a été commercialisé en 2013, et n'est plus en vente. Depuis, de nombreux modèles plus récents et mieux équipés ont vu le jour.

Nous vous présentons ce soir un test du ZenBook Infinity UX301LA, un Ultrabook équipé d’une dalle très haute définition QuadHD.

Nous vous rappelons que les avis ci-après n’engagent que leurs rédacteurs. Nous nous efforçons dans la mesure du possible de retranscrire leurs sentiments et leurs propos de façon objective. Si vous êtes en désaccord avec les propos mentionnés, le plus simple est de prendre contact avec nos confrères.

Asus Zenbook Infinity UX301LA

Fiche technique
Dalle 13.3″ WQHD LED IPS tactile multitouch (2560×1440, brillant)
Processeur Intel Core i7-4558U (2.8 GHz)
Mémoire vive installée (max) 8 Go (soudés) DDR3 1600 MHz
Espace de stockage 512 Go : 2 SSD de 256 Go en SATA 3.0 (6.0 Gb/s) en RAID 0
Carte graphique Intel Iris 5100 intégrée au processeur
Lecteur optique
Système audio 2 haut-parleurs Bang & Olufsen IcePower SonicMasterFocus
Webcam Oui, HD 720p avec micro
Réseau Wi-Fi 802.11ac (Intel Wireless-AC 7260) + Ethernet Gigabit
Bluetooth Oui, Bluetooth 4.0
Lecteur de cartes Oui, SD, SDHC, SDXC, MMC
Sortie(s) vidéo HDMI, mini-DisplayPort
Lecteur d’empreintes digitales
Entrée(s) / Sortie(s) Combo Casque/Micro
ExpressCard
Firewire
USB 2 USB 3.0
Système d’exploitation Windows 8 64 bits
Batterie Li-polymère 50Whr
Autonomie annoncée 7 heures
Dimensions (mm) 325 x 223 x 15,5
Poids 1.4 Kg (avec batterie)
Garantie 2 ans

Le design de ce ZenBook Infinity est très soigné. La coque en aluminium est teinté en bleu nuit, sans la moindre touche excentrique (excepté peut-être les motifs circulaires concentriques à l’arrière de l’écran). La plupart des surfaces sont recouvertes d’une couche de verre Gorilla Glass pour éviter les rayures disgracieuses. L’ensemble est pourtant très léger, très compact, et la résistance est au rendez-vous. Le verre dépoli du repose poignet offre un toucher vraiment agréable et inégalé jusqu’ici. La connectique est limitée mais l’essentiel est présent. Des adaptateurs VGA et Ethernet sont fournis avec la machine pour compléter l’offre. On note la présence d’un module WiFi ac, offrant d’excellents débits.

Le clavier chiclet rétro-éclairé est semblable à ceux des anciens modèles. Il offre un bon confort de frappe et est relativement silencieux. Le large touchpad cliquable est lui aussi recouvert de verre dépoli. Les gestes multitouch sont très bien gérés. L’écran tactile est lui aussi très précis et réactif.

La dalle IPS de ce modèle dépasse celle des anciens modèles, la définition atteint 2560×1440 pixels, soit une résolution presque aussi fine que celle du MacBook Pro Retina 13 (221 contre 227 DPI). Certains compétiteurs, comme Samsung, font déjà « mieux », avec une dalle 13,3″ de 3200×1800 pixels (276 DPI). Si le matériel est de haut niveau, le logiciel ne suit pas toujours. Windows 8 n’est pas aussi à l’aise avec les écrans haute densité que ne l’est Mac OS X. Certains éléments d’interface ne sont toujours pas mis correctement à l’échelle, et il faudra pourtant avoir recours à cette mise à l’échelle sous peine d’afficher des textes et boutons microscopiques ! Le taux de contraste est exceptionnellement haut, l’un des meilleurs mesuré sur portable, grâce à une luminosité et une profondeur des noirs records. Les angles de visions sont excellents. Seul regret, le traitement brillant de la dalle, induit par la surcouche tactile.

Cet Ultrabook embarque les composants les plus véloces de sa catégorie. La majorité des utilisations sont envisageable avec une réactivité sans faille. Les deux SSD en RAID n’y sont pas étrangers. La dissipation thermique est bien étudiée, elle est inaudible en utilisation légère, et le bruit est assez sourd en pleine charge. Il faudra éviter toutefois dans ce dernier cas de placer le portable sur les genoux.

La puce graphique Intel Iris 5100 intégrée au processeur offre des performances plus proches de l’Intel HD 5000 que de l’Intel Iris Pro 5200. Dans les faits, elle se situe approximativement selon les cas entre une GeForce GT 620M et une GeForce GT 640M LE. Il est ainsi possible de faire tourner la majeure partie des jeux actuels, à condition toutefois de faire des sacrifices sur la définition et le niveau de détails. Les pilotes graphiques ne sont pas non plus totalement au point, certains jeux n’ayant pas pu se lancer en plein écran, d’autres crashant au démarrage. Intel devrait toutefois remédier à la situation rapidement.

L’autonomie atteint 6 heures et 25 minutes en navigation Internet.

Il obtient la note de 88%.

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