Découvrez aujourd’hui un nouveau test du Acer Aspire Switch Alpha 12, un ultrabook convertible en tablette muni d’un Core i7 basse conso, d’un SSD de 256 Go et d’un système de refroidissement liquide.
Voici les caractéristiques techniques du modèle testé :
Dalle | 12’’ Full QHD LED IPS tactile multi-touch 10 points (2160×1440, brillante) |
Processeur | Intel Core i7-6500U Skylake (2.5 GHz, 2 cœurs, TDP 15W) |
Mémoire vive installée (max) | 8 Go DDR3L |
Espace de stockage | SSD M.2 256 Go |
Carte graphique | Intel HD 520 intégrée au processeur |
Lecteur optique | – |
Système audio | 2 haut-parleurs |
Webcam | Oui, 720p CrystelEye HD avec micro |
Réseau | Wi-Fi ac/b/g/n |
Bluetooth | Oui, Bluetooth 4.1 |
Lecteur de cartes | microSD/SDHC |
Sortie(s) vidéo | |
Lecteur d’empreintes digitales | – |
Entrée(s) / Sortie(s) | Combo Casque/Micro |
ExpressCard | – |
Firewire | – |
USB | 1 USB Type-C + 1 USB 3.1 |
Système d’exploitation | Windows 10 64 bits |
Batterie | Li-Ion 2 cellules 37Whr |
Autonomie annoncée | 8h |
Dimensions (mm) | 291 x 201 x 16 |
Poids | 1.29 Kg (avec clavier et batterie) |
Garantie | 2 an |
Autre | Clavier chiclet détachable rétro-éclairé, touchpad multitouch |
Logiciels | Applications Acer |
L’Acer Switch Alpha 12 est façonné autour d’un châssis en aluminium bi-ton dont la sobriété ne se détache aucunement de la concurrence. L’ensemble est correctement assemblé et la finition est soignée même si la fixation aimantée du support en métal est assez lâche. La tablette seule pèse 930g, un poids significatif qui peut tirer sur les bras lors d’un usage prolongé. Comme souvent chez les convertibles, l’accès aux composants est quasi impossible même si deux vis apparaissent ici. Le testeur n’a cependant pas réussi à soulever la trappe.
La connectique n’est jamais bien généreuse sur ce type de PC mais le Switch Alpha 12 a l’avantage de bénéficier d’un port USB 3.1 (taille standard) et d’un USB Type-C. Ce dernier prend en charge la plupart des interfaces manquantes (sortie vidéo, Ethernet…) via des adaptateurs.
Le clavier magnétique du modèle testé (SA5-271-70EQ) est rétro-éclairé, ce qui constitue un vrai plus pour distinguer les touches en ambiance sombre. La frappe est douce et précise mais peu silencieuse. Même constat pour le touchpad dont la taille assez réduite ne gène pas le multitouch. Le testeur regrette la présence de la lanière servant à maintenir le stylet (en option), qu’il juge disgracieuse.
Concernant l’écran, la définition élevée (QHD, 2160×1440 px) est de bon augure. Le taux de contraste est faible mais la bonne luminosité relève le niveau. Par défaut, la colorimétrie est assez décevante avec un Delta E proche de 7 et un espace sRGB couvert à 83%, là où d’autres déclinaisons le couvre entièrement. Résultat, une légère teinte bleutée est perceptible à l’oeil nu. Cependant, vous pouvez facilement rectifier le tire en recalibrant l’écran (à l’aide d’une sonde) pour aboutir à un Delta E inférieur à 1, ce qui est très satisfaisant.
Architecturé autour d’un Core i7 basse consommation de dernière génération et de 8 Go de mémoire vive, l’Acer Switch Alpha 12 est en mesure d’effectuer l’ensemble des tâches courantes, multimédia ou bureautique. Le refroidissement liquide est efficace et permet au CPU de supporter des températures plus élevées et de maintenir une haute fréquence (Turbo) plus longtemps. En outre, le SSD de 512 Go surpasse la concurrence en raison de sa grande capacité de stockage. Bonne surprise, la puce graphique trouve un appui suffisamment costaud dans le Core i7 pour faire tourner des jeux peu exigeants, à condition bien sûr de baisser la définition de l’écran.
Le convertible est parfaitement silencieux grâce au SSD et au refroidissement liquide. Par ailleurs, la température est plutôt bien contenue.
Côté autonomie, le PC atteint 4h50 en navigation Internet avec Wifi actif. Un résultat décevant.
L’Acer Switch Alpha 12 obtient la note de 87%.
Accéder au test de l’Acer Switch Alpha 12
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