Test HP EliteBook Dragonfly – l’ultrabook parfait, exception faite de son processeur !

léger, bien fini, une autonomie confortable, clavier et touchpad des plus agréables mais un Core i de 8e génération :(

Cet ordinateur portable n'est plus vendu
L'ordinateur portable présenté ci-dessous a été commercialisé en 2020, et n'est plus en vente. Depuis, de nombreux modèles plus récents et mieux équipés ont vu le jour.

Destiné à séduire aussi bien les utilisateurs professionnels et les parcs d’entreprises que les particuliers exigeants à la recherche d’un ultraportable haut de gamme, le Dragonfly est aussi le premier modèle HP à répondre au cahier des charges du Intel Athena. Derrière ce projet et désormais cette appellation, un objectif commun, celui de proposer des ultrabooks légers, dotés d’une excellente autonomie et compatibles avec une charge rapide, sans oublier une connectivité au top. Sur ce point, le Dragonfly se démarque par la présence d’une puce 4G intégrée. Idéale pour rester connecter en toute circonstance, sans avoir besoin d’utiliser le mode modem de son smartphone.

Mais comme vous le découvrirez, ce ne sont pas là ses seuls atouts. Et exception faite du processeur vieillissant – dont chacun accordera l’importance qui lui convient -, le Dragonfly est un ultrabook (convertible) proche de la perfection !

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Dévoilé à l’automne dernier, l’ultrabook convertible HP Dragonfly s’est fait désirer et n’est disponible que depuis peu en France.

Caractéristiques du HP Elitebook Dragonfly

Écran(s) 13,3″ Full HD IPS 1000 nits écran de confidentialité intégré HP Sure View (1920×1080, brillante) Tactile
Processeur Intel Core i5-8265U Whiskey Lake (1.6 GHz, 4 cœurs, TDP 15W)
Mémoire vive installée 16 Go DDR4
Carte graphique Intel UHD Graphics 620
Stockage SSD M.2 NVMe PCIe de 512 Go
Connectique 2 USB Type-C (Thunderbolt 3), 1 USB-A 3.1 Gen 1, HDMI, jack 3,5 mm
Réseau Wi-Fi ax, Bluetooth 5.0, puce 4G LTE
Clavier rétro-éclairé Oui
Pavé numérique
Windows Hello Webcam infra-rouge + capteur empreinte digitale
Système audio 4 haut-parleurs
Système d’exploitation Windows 10 Pro 64 bits
Autonomie annoncée / Batterie 22 heures / Li-Po 4 cellules 56Whr
Dimensions (mm) / Poids 304 x 198 x 16,1 / 1,1 Kg

HP Elitebook Dragonfly – Châssis / Design

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Dans un univers où le gris aluminium et le noir prédominent, HP a choisi de se démarquer en dotant son Dragonfly d’un coloris bleu foncé. Ce dernier tend parfois vers le gris en fonction de la luminosité et de l’angle de réflexion de la lumière. Outre une certaine originalité, ce coloris est élégant et, associé à un revêtement mat, se révèle peu sensible aux traces de doigts. Un bon point pour un ultraportable dont la vocation est d’être manipulé plusieurs fois par jour.

Quelques petites touches argentées agrémentent le châssis, d’abord au niveau du logo mais également au niveau des charnières. Des détails qui illustrent le soin apporté à la conception du Dragonfly. Les assemblages sont bien ajustés et, à la prise en main, cet ultrabook HP inspire confiance. Mais, c’est la moindre des choses pour un ordinateur portable haut de gamme dont le tarif flirte avec les 2000 euros.

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Test HP EliteBook Dragonfly G1 - Upgrade

Le dessous du châssis laisse apercevoir une large grille destinée à l’aération ainsi que deux autres plus étroites pour une partie du système audio. L’accès aux composants ne présente guère de difficulté. Il suffit d’ôter les cinq vis Torx puis de faire levier pour déclipser la face inférieure du châssis. Pour autant, en dehors de dépoussiérer le ventilateur, l’opération ne présente pas grand intérêt si ce n’est éventuellement pour remplacer le SSD. La mémoire vive est soudée à la carte mère à l’instar de la majorité des autres ultrabook du marché.

HP Elitebook Dragonfly – Connectique / Ports

Malgré une épaisseur réduite, le Dragonfly parvient à embarquer les principaux ports usuels. A droite, une sortie HDMI, une prise jack casque / micro ainsi que deux ports USB-C / Thunderbolt 3.

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Test HP EliteBook Dragonfly G1

A gauche, s’ajoutent un port USB-A, une attache antivol Kensington ainsi que l’emplacement pour insérer une carte SIM et ainsi profiter d’une connexion 4G. Une caractéristique rare à l’heure actuelle sur les ordinateurs portables.

HP Elitebook Dragonfly – Système audio

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Test HP EliteBook Dragonfly G1 - Audio

Test HP EliteBook Dragonfly G1 - Audio

A l’image des autres ordinateurs HP, le système audio est signé Bang & Olufsen. Un partenariat avant tout destiné à rassurer les mélomanes mais qui, pour une fois, n’est pas trop usurpé. Le Dragonfly délivre un son puissant, les basses sont présentes mais sans excès et la spatialisation bien restituée dans les films. Sans atteindre le confort d’un système audio externe, le Dragonfly parvient donc malgré sa taille à proposer un son plutôt convaincant (pour un ordinateur portable).

HP Elitebook Dragonfly – Clavier / Touchpad

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Si la taille des touches (15,4×15,1 mm), tout comme l’espacement (3,3 mm) sont assez communs, le clavier du HP Dragonfly se positionne comme l’un des plus confortables que nous ayons eu l’occasion de tester ces derniers mois. Le bruit est feutré, la course parfaite (1,4 mm), la rétro-action franche sans pour autant nuire à la stabilité des touches lors de la frappe. Saisir du texte durant de longues heures ne pose guère de difficulté. D’aucuns apprécieront la présence de LED pour indiquer le verrouillage des majuscules (caps lock), la désactivation du micro ou encore du mode avion, du volume (mute) ou l’état des appels.

L’intensité du rétro-éclairage peut être ajustée selon deux positions. Un peu juste de prime abord mais ces dernières sont bien étagées et peuvent donc convenir à la majorité des environnements. Saluons aussi l’excellente uniformité du rétro-éclairage, tant sur les touches principales que secondaires.

Le touchpad est à l’image du clavier, très réussi et agréable à utiliser. HP a exploité au mieux la place disponible sur ce petit châssis d’ultrabook en lui offrant des dimensions généreuses (111×64 mm). Sa surface en verre délivre une glisse rapide et précise.

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Un lecteur d’empreinte digitale est situé en dessous du clavier. C’est pratique pour déverrouiller sa session Windows sans avoir besoin de saisir son mot de passe mais la concurrence propose parfois des intégrations plus discrètes. A noter que la caméra est également compatible avec Windows Hello grâce à son capteur infrarouge. En termes de qualité, malheureusement, elle est à l’image de nombreux ordinateurs portables, décevante. Les images manquent de piqué et présentent un bruit (trop) marqué lorsque la luminosité décline. Le Dragonfly étant aussi destiné aux utilisateurs professionnels, HP a prévu un cache pour protéger la webcam lorsqu’elle est inutilisée. Une bonne idée mais manipuler le petit cache s’avère très difficile. De plus, il semble plutôt fragile pour tenir plusieurs années.

HP Elitebook Dragonfly – Ecran

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Le Dragonfly est proposé avec trois dalles différentes. Une UHD 4K HDR et deux Full HD dont l’une équipée de la technologie HP Sure View comme celle de l’exemplaire testé. Une technologie développée pour protéger la confidentialité grâce à un filtre actif qui va réduire les angles de vision et ainsi empêcher une personne située à votre droite (ou gauche) de lire et de voir ce qui est affiché sur votre écran. Un plus pour les commerciaux et autres personnes dont les données peuvent être sensibles et qui utilisent régulièrement leur ordinateur portable dans des lieux publics ou les transports en commun. Dans le cas contraire, opter pour un écran Sure View nous semble peu opportun, les angles de vision étant plus étroits à l’usage, et ce même lorsque le filtre est inactif. A noter que le filtre Sure View fonctionne mieux avec une luminosité ambiante assez importante. En environnement sombre, l’effet est moindre.

Convertible oblige, la dalle IPS (M133NVFC R6 – IVO857E) dispose d’une surface brillante, assez sensible aux reflets du fait de la présence d’un verre de protection Gorilla Glass. La forte luminosité (865 cd/m²) permet toutefois de s’en sortir dans la plupart des situations, y compris en extérieur. Revers de la médaille, la luminosité minimale est elle aussi très élevée (90 cd/m²), ce qui peut poser problème le soir. Il faut alors activer le filtre Sureview pour faire redescendre la luminosité minimale à 42 cd/m² (cela reste malgré tout « lumineux »). L’espace sRGB est couvert en totalité (environ 80% pour le RGB et le DCI-P3). Le taux de contraste est très élevé (2200:1). Quant au DeltaE, il s’établit à 5,49 avant caractérisation, 0,42 après.

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Si une dalle tactile est parfois « pratique » sur un ordinateur portable classique (pour valider une box de dialogue ou cliquer sur un lien par exemple), elle prend davantage de sens sur un convertible comme le Dragonfly. Avec le clavier replié, l’ultrabook se mue en tablette tactile et ouvre ainsi de nouvelles possibilités, encore plus grâce au stylet fourni. Par exemple pour dessiner, réaliser des croquis ou définir un masque sous Photoshop ou Lightroom. Pour autant, et même si des progrès ont été réalisés via les dernières mises à jour au cours de ces dernières années, Windows 10 reste un système d’exploitation dont l’ADN est d’être utilisé avec un clavier et une souris (touchpad). Alors certes il est possible de tout faire en tactile, mais le manque d’ergonomie de l’OS et des logiciels rend vite l’usage laborieux et bien loin de l’expérience à laquelle nous sommes désormais habitués sur les smartphones et tablettes iOS / Android.

HP Elitebook Dragonfly – Performances

Test HP EliteBook Dragonfly G1 - Configuration

Test HP EliteBook Dragonfly G1 - Performances SSD

Si jusqu’à présent notre découverte du Dragonfly était plutôt positive, il est temps d’aborder son point faible… En effet, malgré une commercialisation en 2020, le fleuron des ultrabooks HP se voit doté d’un processeur vieillissant, en l’occurrence un Core i5-8265U sur notre configuration de prêt.

Test HP EliteBook Dragonfly G1 - Geekbench CPU

Test HP EliteBook Dragonfly G1 - Geekbench GPU

Test HP EliteBook Dragonfly G1 - Montage vidéo

Test HP EliteBook Dragonfly G1 - Développement photo

Test HP EliteBook Dragonfly G1 - Compression fichier

Test HP EliteBook Dragonfly G1 - Performances vidéo

Et si sur une utilisation bureautique / web, la différence avec un processeur plus récent sera pour ainsi dire imperceptible au quotidien, avec les programmes plus exigeants, les écarts deviennent plus marqués. Encore plus, lorsque l’accélération GPU rentre en jeu. Là, un Core i7 Ice Lake et sa puce Iris Graphics G7 creuse l’écart. Idem pour les derniers AMD Ryzen et leur puce Vega. Une mise à jour du Dragonfly à base de processeurs Ice Lake a été annoncée mais pour le moment, aucune date de commercialisation en France n’a été évoquée.

HP Elitebook Dragonfly – Bruit / Températures

Certains ultrabooks HP testés par le passé ne nous avaient pas laissé un très bon souvenir en ce qui concerne le bruit avec un ventilateur pour le moins présent. Nous avions donc une petite appréhension en testant ce nouveau modèle.

Bonne surprise, à l’usage le Dragonfly se révèle discret, même lorsque le processeur est sollicité durant plusieurs minutes. Pour tout dire, lors du premier bench, l’idée qu’un mode « silence » soit actif nous a effleuré l’esprit. Mais non, HP ayant choisi de n’offrir aucun choix en matière de profil d’utilisation en dehors de ceux intégrés nativement à Windows. Avec le profil « performances équilibrées », le ventilateur tourne à basse vitesse, audible dans un environnement silencieux mais peu intrusif avec une pression sonore compris entre 36 et 38 dBA. En activant le profil « Performances optimales », le ventilateur se fait un peu plus présent, autour de 40 dBA. L’impact sur les temps de rendus est minime, il est possible de gagner quelques secondes parfois mais rien de significatif pour autant.

Côté températures, la bonne impression se confirme. Le processeur oscille entre 75 et 80°C en moyenne et n’a jamais dépassé les 91°C durant nos différents tests (avec une températures ambiante de 24°C). Ce sont de très bons résultats pour un ultrabook, de nombreux concurrents affichant une dizaine de degrés supplémentaires dans les mêmes conditions. En surface, la châssis devient vite tiède au toucher, plus particulièrement au niveau de la droite du clavier, ce qui n’est pas des plus agréables lorsque le Dragonfly est utilisé en mode tablette.

HP Elitebook Dragonfly – Autonomie / Batterie

HP a beaucoup insisté sur l’autonomie au moment de la présentation de son Dragonfly. En pratique, avec une moyenne de 12h15 (WiFi actif, luminosité réglée à 140 cd/m²), il sera effectivement en mesure de répondre aux besoins des utilisateurs nomades. D’autant qu’une fois le mode avion activé et avec la luminosité au plus bas (mais tout à fait suffisante en environnement sombre), il est possible de tenir plus de 24h sur batterie !

A l’inverse, avec le processeur sollicité en continu, l’autonomie chute à 2h30. Un résultat qui reste malgré tout supérieur à bon nombre de concurrents, souvent plus proche d’une heure d’autonomie dans les mêmes conditions.

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Le chargeur 65W n’est pas le plus compact (93x53x21 mm) du marché. La faute à sa conception en deux parties, avec prise de terre amovible. Cela offre en revanche l’avantage d’une longueur de câble confortable (2,8m). Cependant, beaucoup d’utilisateurs auraient sans doute apprécié un modèle monobloc, inspiré de ceux des smartphones / tablettes qui équipent de plus en plus d’ultrabook, à l’instar du Honor MagicBook testé dernièrement. Bon point en revanche pour le câble tressé.

Les utilisateurs n’ayant pas de gros besoins en termes d’autonomie auront tout intérêt à limiter la charge à 80% via le BIOS et ainsi potentiellement prolonger la durée de vie de la batterie à long terme.

Notre avis sur le HP Elitebook Dragonfly

Test HP EliteBook Dragonfly G1

Il y a des modèles que l’on a hâte de tester et puis qui, à l’usage nous laissent un sentiment mitigé. Et puis, il y en a d’autres que l’on prend plaisir à utiliser au fil des jours. Le Dragonfly fait partie de cette second catégorie.

Saluons en premier lieu son coloris bleu qui apporte une petite touche d’originalité bienvenue dans un univers où le gris et le noir dominent. Le revêtement mat est par ailleurs peu sensible aux traces de doigts. Un bon point pour un ultrabook dont la vocation est d’être pris en main plusieurs fois par jour. La finition est soignée même si dans cette gamme de prix, cela n’a rien d’étonnant. Le clavier et le touchpad se révèlent impeccables au quotidien et peuvent sans difficulté prétendre au titre de mètre étalon.

L’autonomie moyenne lui permettra de se tenir éloigné sans difficulté d’une prise de courant durant une journée de cours ou de travail, de quoi satisfaire aussi bien les étudiants que les nomades à la recherche d’un ordinateur portable professionnel. Pour ces derniers, HP propose par ailleurs un certain nombre de fonctionnalités (accessibles via des utilitaires Windows ou par l’intermédiaire du BIOS) dédiées à la sécurité et à la gestion à distance de parc informatique. D’aucun apprécieront également sa puce 4G intégrée qui lui permet via une carte SIM de ne pas dépendre d’une connexion WiFi pour rester connecté. Un atout que peu de modèles concurrents proposent à ce jour.

L’écran s’avère particulièrement lumineux, un atout pour un usage en extérieur. Sa technologie SureView est un plus pour protéger la confidentialité mais si vous n’en avez pas l’usage, c’est davantage un frein qui nuit au confort d’utilisation avec des angles de vision plus étroits, y compris lorsque le filtre est inactif. A l’inverse, les charnières 360° sont un plus pour varier les modes d’utilisation et utiliser son ordinateur portable en guise de tablette tactile (même si l’expérience Windows reste souvent mitigée mais c’est un autre débat).

In fine, vous l’aurez compris, cet HP Dragonfly s’approche du PC portable parfait, si ce n’est cette plateforme d’ancienne génération qui a du mal à passer sur un ordinateur dont le tarif frôle les 2000€. Non pas que les gains apportés par les processeurs Comet Lake ou même Ice Lake soient exceptionnels mais cela risque tout de même de rebuter beaucoup de particuliers. Les professionnels auront sans doute une autre approche et y seront par conséquent moins sensibles. Mais tout de même, un Dragonfly avec un Core i7-1065G7 serait le bienvenu, ne serait-ce que pour profiter de la puce Intel Iris Graphics G7 dont les performances marquent le pas face à la puce Intel UHD 620 avec les programmes optimisés pour s’appuyer sur la puissance GPU. Pour un usage bureautique / web, en revanche, il est vrai que cela n’aurait que peu d’impact visible à ce jour. Malgré tout, et sauf promotion très intéressante, nous vous conseillons d’attendre la prochaine version du Dragonfly si vous le pouvez.

4 out of 5 stars

Le HP Elitebook Dragonfly obtient la note de 4/5

Points forts
Puce 4G intégrée
Autonomie confortable
Coloris agréable, finition impeccable
Connectique variée, stylet fourni
Clavier et touchpad réussis
Système audio réussi pour un ultrabook
À revoir
Dalle Sureview (angles de vision étroits, luminosité minimale trop élevée)
Processeur d’ancienne génération
Chargeur un peu encombrant
Cache webcam peu pratique à manipuler
Quel PC portable est fait pour vous ?
5 questions, moins d’une minute ! LaptopSpirit s’occupe du reste !
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2 réponses à “Test HP EliteBook Dragonfly – l’ultrabook parfait, exception faite de son processeur !”

  1. Quel rapport entre un ultrabook de 13 pouces dont la vocation est d’être transporté et utilisé partout avec un NUC qui sera sédentaire, tout aussi compact qu’il soit ??

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