Asus Vivobook S413FQ-EB029T, ultrabook 14 pouces multimédia avec MX350 (999€)

Pensé pour répondre à tous les profils multimédia, l’Asus VivoBook S413FQ-EB029T est un ultrabook de 14 pouces au look élégant et aux attributs intéressants, à commencer par ses 16 Go de mémoire vive. Son boitier noir bleuté de 1,4 kg cache également un Core i7 Quad Core basse conso ainsi qu’une carte graphique GeForce MX350 pour surfer sans encombre et jouer par moment, secondés par un stockage SSD de 512 Go rapide. L’écran Full HD IPS mat est de bonne augure pour les cinéphiles et l’ajout d’un clavier rétro-éclairé et du NumPad assure la part d’agréments mais l’autonomie ne devrait pas dépasser les 5 à 6 heures et il n’y a pas d’option de connexion biométrique (Windows Hello).

Les arguments de l’Asus VivoBook S413FQ-EB029T sont d’abord la réactivité puis la puissance graphique, avec un petit plus apporté par son NumPad. Dans ce paysage et sous les 1100 euros, il s’impose grâce à son niveau graphique, au dessus des autres propositions (Iris Plus G7, MX250, etc.).

Asus remanie son ultrabook de 14 pouces à destination des budgets serrés. L’Avec VivoBook S413FQ-EB029T reprend son châssis à son prédécesseur (S412) en en changeant l’esthétique. D’un argent conventionnel, on passe à un coloris plus foncé appelé « Bespoke Black », un noir qui tend davantage vers le bleu/gris sombre. C’est élégant et passe partout, mais Asus a tenu à rajouter une touche colorée à l’ouverture avec la touche Entrée encadrée d’un jaune vif. « Dites « Yellow ! » au monde » dirait Asus.

Son poids a été sensiblement allégé pour atteindre 1.45 kg et, ajouté à son format compact (325 x 215 mm), cela fait de lui le parfait petit compagnon pour des sorties studieuses. On a cependant déjà vu plus fin sur ce type d’ultrabook (19 mm) mais pour de l’entrée de gamme, c’est très bien optimisé. A noter qu’Asus renforce le dos du couvercle d’aluminium pour plus de robustesse mais que le reste du boitier est en polycarbonate (plastique), comme la majorité des PC portables à ce niveau. Concernant le clavier, il semblerait qu’un système de rétro-éclairage soit présent, parfait pour illuminer les touches sombres lorsque la lumière ambiante vient à baisser.

L’écran joue lui aussi un rôle déterminant dans le rendu esthétique de l’ultrabook et ses contours affinés NanoEdge vont non seulement augmenter la sensation d’immersion mais aussi permettre de glisser une dalle de 14 pouces dans un châssis de 13 pouces. Il bénéficie d’une définition Full HD (1920 x 1080 px) qui met à disposition une densité d’affichage salutaire pour visionner dans les meilleures conditions du contenu en Haute Définition. D’autre part, la dalle IPS œuvre pour ouvrir les angles de vision et reproduire fidèlement les couleurs tandis que le traitement mat de la dalle fait barrière aux reflets liés à un usage par forte luminosité ambiante. Un plus pour le confort.

Bien répartie, la connectique rassemble l’essentiel des interfaces attendues à l’heure actuelle à ce niveau de gamme. On dénombre une sortie HDMI, un lecteur de carte microSD ainsi que deux ports USB 2.0, un port USB 3.1 et un USB Type-C, soit un port USB de plus que sur le S412. Sur ce modèle, pas de possibilité de connexion biométrique (Windows Hello) et la connectivité est confiée au Wifi ac et au Bluetooth 4.1.

Autre fonctionnalité bienvenue sur ce VivoBook, le NumPad présenté ici dans une version 2.0. Son principe est de faire apparaitre un pavé numérique en surbrillance (rétro LED) sur le touchpad suite à une pression dans son coin supérieur droit. Asus annonce fournir une saisie encore plus rapide dans cette version 2.0.

Le cœur de l’ultrabook est alimenté par un processeur de 10ème génération Comet Lake Core i7-10510U. Le gain n’est pas significatif par rapport au Core i7-8565U de 9ème génération (Whiskey Lake) mais reste un petit cran au dessus cela dit. Quoi qu’il en soit, l’Aspire ne laissera aucun travaux de côté et couvrira l’ensemble de l’usage courant (navigation Web, traitement Office, vidéo) avec une bonne maitrise dans les applications plus gourmandes, puisant dans l’architecture multicœurs (montage vidéo, Photoshop…). Les 16 Go de mémoire vive offrent toute l’aisance nécessaire en multitâche, de quoi assurer les prochaines années.

Côté graphiques, lorsque la puce Intel UHD n’offre plus assez de ressources pour l’usage requis, la carte graphique dédiée GeForce MX350 vient prendre le relai. Cette carte récente basée sur l’architecture Pascal offre en gros 20% de performances en plus que sa devancière la GeForce MX250, de quoi se rapprocher discrètement d’une GeForce GTX 1050 et permettre quelques sessions ludiques de qualité. Attention tout de même à se limiter aux titres peu exigeants ou a défaut, de ne pas être trop regardant sur les détails. On n’arrive évidemment pas au niveau de jouabilité d’un duo Hexa Core/GTX-RTX mais le support est honnête pour l’usage courant ponctué de quelques tâches graphiques et/ou jeu.

Le stockage est confié à un SSD M.2 NVMe PCIe de 512 Go qui va apporter une dose de réactivité bienvenue au système. Par rapport à un disque dur mécanique standard, est est plus silencieux, robuste et économe en énergie et permet à Windows d’atteindre un niveau de fluidité remarquable avec des délais de chargement brefs et une exécution sans latences. Qui plus est, sa capacité n’a rien de ridicule et peut héberger une bonne partie de votre ludothèque même si certains peuvent ne pas trouver cela suffisant. On considère que le SSD constitue la norme désormais à ce niveau de prix.

Enfin, sachez qu’Asus a renforcé très légèrement la batterie de son petit VivoBook mais ses 42 Whr ne pourront pas vous emmener très loin. Comptez sur 5 à 6 heures à peine en navigation Internet avec Wifi actif et moins en sollicitant la carte graphique.