Extérieurement, l’Amilo 3650 bénéficie d’un design agréable avec son coloris blanc agrémenté d’une petite touche de noir par l’intermédiaire de son clavier. L’ensemble est sobre et devrait séduire un large public.
Autre avantage et contrairement aux modèles glossy de plus en plus nombreux, les traces de doigts sont invisibles sur le blanc, plus besoin d’embarquer en permanence un petit chiffon microfibre pour conserver son portable propre. Un point appréciable pour un ultra-portable qui par définition, a vocation à être manipulé régulièrement. De même, il est également bien moins sensible aux micro-rayures.
Vue de face
De gauche à droite, se situent l’entrée micro, deux sorties casques, le lecteur de cartes mémoires ainsi que trois LED chargées de renseigner l’utilisateur sur l’état de la batterie, l’activité du disque dur ainsi que la charge du portable via son alimentation secteur.
Côté gauche
De gauche à droite, vous pouvez apercevoir, le port antivol Kensington, un port USB, une grille d’aération, la prise pour connecter la carte graphique externe graphic booster et des ports firewire et ExpressCard 54.
Comme vous pouvez le constater, le graphic booster reprend le design du Amilo 3650.
L’ensemble est discret et relativement compact avec des dimensions de 180x128x33 mm.
Outre le port permettant de le relier au portable, le graphic booster permet également d’étendre la connectique offerte, avec des ports supplémentaires : DVI, HDMI, USB (x2) et antivol Kensington. Nous reviendrons ultérieurement sur ses performances.
Côté droit
Fujitsu a choisi d’opter pour un lecteur optique slot-in, un choix avant tout esthétique qui permet néanmoins de limiter les risques de casse qui peuvent parfois survenir lors de l’ouverture d’un modèle à tiroir.
Viennent ensuite, un port USB/eSATA et la prise Ethernet.
Vue arrière
Un port USB est également présent à l’arrière de l’Amilo, accompagné d’une sortie DVI.
Vue de dessous
Au premier plan, vous pouvez apercevoir la batterie, un modèle 7800 mAh.
Deux petites enceintes sont également présentes au niveau du repose poignet.
Ces dernières délivrent un son plutôt correct pour un ultra-portable mais malgré tout, la qualité est encore éloignée de celle offerte sur des portables bénéficiant d’un système audio 4.1 à l’instar du Toshiba Qosmio X300.
Par conséquent, les joueurs auront tout intérêt à investir dans un système audio externe ou dans un casque de bonne facture pour une meilleure immersion sonore.
Epaisseur comparée à une pile AAA
Sommaire de ce test
Page 1 : Introduction et sommaire
Page 2 : Design extérieur
Page 3 : Design intérieur
Page 4 : Performances 1/2
Page 5 : Performances 2/2
Page 6 : Conclusion