Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


+ 2 = 5

 

Toshiba NB200 – Design intérieur

L’intérieur est tout aussi réussi que l’extérieur. L’entourage de dalle reprend les motifs cités en page précédente. Petite différence toutefois, le revêtement mat laisse sa place au brillant. Toshiba n’a visiblement pas su résister à la tentation d’implanter une surface glossy comme sur de nombreux modèles du marché. Le coloris gris du clavier se marie parfaitement avec le marron.

A noter également l’intégration parfaite juste en dessous de la dalle du bouton dédié à la mise sous tension.

L’écran

Toshiba suit la tendance 2009 en proposant désormais une dalle de 10.2 pouces sur son nouveau netbook, contre 8.9 pouces sur son premier modèle le NB100.

La résolution en WSVGA (1024×600) reste inchangée alors que certains nouveaux modèles à l’instar du Dell Inspiron Mini 10 offrent désormais en option une dalle HD (1366×768). Par conséquent, sur ce NB200, il faudra donc scroller plus régulièrement pour parcourir en totalité une page web ou un document.

Le NB200 dispose d’une dalle glossy. Cette dernière permet de renforcer le contraste et offre ainsi des couleurs plus vives et plus flatteuses. Inconvénient, les reflets sont bien plus présents par rapport au résultat d’une dalle matte. Dans un environnement à la luminosité maitrisée, les reflets seront peu gênants. La situation diffère lorsque l’utilisateur se trouve dans des conditions moins optimales, par exemple à contre jour ou en extérieur. Les reflets sont alors bien plus visibles sur la dalle. Heureusement, Toshiba a bien étalonné le système de rétro-éclairage. Il est donc possible de remédier en grande partie à ce désagrément en augmentant la luminosité réglable sur huit positions. L’utilisateur devrait sans peine parvenir à trouver l’intensité adaptée y compris en extérieur, excepté en plein soleil avec des images sombres. Mais dans cette situation, une dalle matte ne serait guère plus convaincante.

L’uniformité du rétro-éclairage est satisfaisante même si les images sombres laissent apparaitre un léger écart entre le haut et le bas de la dalle.

Les angles de vision sont ouverts et permettent à plusieurs personnes de regarder la dalle simultanément. Mais encore une fois, les reflets pourront s’avérer quelque peu problématique en fonction de l’environnement.

Les charnières sont fermes et assurent donc un très bon maintien de la dalle, et ce, quelque soit sa position.

La webcam

Une webcam 1.3 MP est implantée dans le montant supérieur de la dalle. La qualité des images délivrées est plutôt moyenne, principalement à cause d’un manque de piqué. Les couleurs sont assez fidèles avec tout de même du bruit bien visible dans les zones sombres.

Le micro, placé sur la droite de l’objectif, offre une qualité correcte, suffisante pour dialoguer en visio-conférence avec un autre utilisateur. Sa position lui permet de ne pas être trop perturbé par les bruits parasites, notamment du clavier.

Le clavier

Avec son coloris gris, le clavier n’est pas sans rappelé celui du Toshiba Portégé R600, l’ultra-portable star de la marque. Petite différence toutefois, le NB200 dispose de touches indépendantes, une disposition apparue pour la première fois sur le MacBook Air et depuis largement reprise, notamment sur certains Vaio ou encore sur certains eee PC.

Cette disposition permet d’obtenir des touches bien espacées (4 mm) et ainsi, une frappe plus fluide.

Les touches les plus utilisées sont bien dimensionnées (15×13) pour un netbook. Pour arriver à cette taille, Toshiba a choisi de « sacrifier » les dimensions de certaines touches secondaires, par exemple les touches « Fxx » ou encore les flèches directionnelles.

Un choix plutôt judicieux, ces dernières restent utilisables sans pour autant occuper une surface trop importante, au regard de leur fréquence d’utilisation.

En clair, le clavier du NB200 est efficace, tout en bénéficiant d’un confort proche de celui offert par un ultra-portable. Le bruit délivré lors de la frappe est discret et renforce le sentiment d’avoir entre les mains un modèle haut de gamme. Petit bémol toutefois, une légère flexion est perceptible en exerçant une pression sur la partie droite du clavier, en dessous de la touche « Ctrl ».

Le touchpad

Avec des dimensions de 79×39 mm, le touchpad dispose d’une taille conséquente pour un netbook et se montre encore une fois, plus proche d’un ultra-portable.

Après un ajustement des paramètres, l’efficacité est au rendez-vous. Le revêtement utilisé est agréable au toucher et offre une glisse rapide.

Températures – Nuisances sonores

Au cours de notre test, dans un pièce affichant une température moyenne comprise entre 22 et 24°C, nous avons mesuré des maximas de 34 et 65°C, respectivement pour le disque dur et le processeur. Des températures tout à fait acceptables.

Outre son efficacité, le système de refroidissement se montre particulièrement discret. Ainsi, dans un environnement calme, le NB200 se montre presque inaudible, seul le disque dur se fait parfois entendre. Lorsque le processeur est plus sollicité, le ventilateur finit par se mettre en marche, mais tout en restant particulièrement discret, seul un léger souffle étant audible.

Séduisant à l’extérieur, le NB200 l’est tout autant à l’intérieur. La finition est tout aussi soignée et aucun réel défaut ne vient ternir le tableau.

sommaire

Sommaire de ce test

Page 1 : Introduction et sommaire
Page 2 : Design extérieur
Page 3 : Design intérieur
Page 4 : Performances / Autonomie
Page 5 : Conclusion