Extérieurement, le Toshiba Qosmio x300 ne passe pas inaperçu avec son coloris rouge vif accompagné de flammes sur l’extérieur de l’écran.
Le design fait penser à celui de certaines tours desktop produites dans le passé par Alienware.
Vue de face
La face avant reçoit le lecteur optique. Comme nous l’avons évoqué en introduction, Toshiba ayant perdu la bataille de la Haute Définition qui l’opposait à Sony, les Qosmio n’embarque plus de lecteur HD-DVD, mais un simple graveur de DVD.
A l’extrémité gauche, vous pouvez apercevoir le commutateur Wifi. Notre modèle supportait la norme 802.11 draft-n et ainsi autorise des débits supérieurs aux modèles à la nome 802.11 g, à condition toutefois que l’ensemble de votre réseau soit aussi en n. La sensibilité se situe dans la moyenne, seuls les réseaux émettant un signal assez puissant sont détectés.
A droite du commutateur Wifi, un récepteur infra-rouge est intégré, destiné à la télécommande présente sur certains modèles de la gamme.
La face avant comporte un « petit rebord » qui laisse apparaitre, même lorsque la dalle est refermée, cinq témoins chargés de renseigner l’utilisateur sur l’état du portable.
Côté droit
Comme vous pouvez le constater, le design profilé détone par rapport au classicisme de rigueur sur la majorité des modèles du marché.
Côté connectique, sur cette face, il y a la molette de réglage du volume, une sortie casque, une entrée micro ainsi que deux ports USB.
Toshiba a vraiment soigné la conception de ses Qosmio X300, à l’image de cette trappe chargée de masquer le lecteur de cartes 4 en 1 ainsi que le port Modem RJ-11, présente sur certains modèles.
Côté gauche
On retrouve ici, deux ports USB supplémentaires dont un eSATA.
Petit plus appréciable au quotidien, tous les ports USB servent aussi à recharger les périphériques et autres équipements électroniques lorsque l’ordinateur est éteint.
Un port ExpressCard est également présent.
Vue arrière
La face arrière reçoit de gauche à droite, le port antivol Kensington, Firewire, le connecteur de la prise d’alimentation secteur avec ses quatre broches, puis un port HDMI, VGA et Ethernet.
Vous pouvez également apercevoir une partie du système d’aération ainsi que l’imposante charnière chargée d’assurer le maintien de la dalle, mais nous reviendrons sur ces points dans la page suivante.
Vue de dessous
Toshiba a choisi de ne pas négliger le maintien du portable grâce à des tampons caoutchouc bien dimensionnés.
Le système de refroidissement n’est pas en reste avec deux ventilateurs. La grille au milieu cache un subwoofer.
Enfin, deux trappes permettent d’accéder rapidement aux deux disques durs mais également aux barrettes mémoire.
L’utilisateur pourra ainsi faire évoluer ces composants s’il en éprouve le besoin dans l’avenir.
Pour la mémoire vive, Toshiba a choisi de faire confiance à Hynix via deux modules en DDR3.
L’épaisseur comparée à une pile AAA
Le Qosmio X300 est assez imposant de par ses dimensions (399x288x30-40 mm) mais son poids (3.7 kg) reste bien contenu pour un portable gamer.
L’adaptateur secteur
L’adaptateur secteur est à l’image du portable assez imposant.
Comme nous l’avons évoqué précédemment, le branchement s’effectue via une prise 4 broches.
Extérieurement, le Toshiba Qosmio X300 ne laissera personne indifférent, certains seront fans de son design alors que d’autres le trouveront trop exubérant. Quelque soit votre ressenti, il faut avouer que le X300 se démarque de la concurrence et est reconnaissable au premier coup d’œil.
De plus, la finition est soignée, à l’image de la trappe chargée de dissimuler le lecteur de cartes. Voyons s’il en est de même à l’intérieur.
Sommaire de ce test
Page 1 : Introduction et sommaire
Page 2 : Design extérieur
Page 3 : Design intérieur
Page 4 : Performances (1/2)
Page 5 : Performances (2/2
Page 6 : Conclusion