Aujourd’hui place aux tests des Lenovo IdeaPad U350, HP Pavilion dv6, Packard Bell Dot MR 070 et HannSpree HannsNote.
Le Lenovo IdeaPad U350 testé possède un processeur Pentium ULV SU2700 (1.3 GHz), 4 Go DDR2 800 MHz (4 Go max), un disque dur SATA de 320 Go à 5400 tr/min, une partie graphique intégrée Intel GMA X4500HD jusqu’à 1.8 Go partagés, un écran 13.3’’ HD LED brillant d’une résolution de 1366×768, une webcam 1.3 megapixels avec micro, un lecteur de cartes 4 en 1 et des connecteurs Wi-Fi a/g/n, Bluetooth 2.1+EDR, HDMI, VGA, Casque, Micro, Ethernet et USB 2.0 (x3).
Il pèse 1.63 Kg avec sa batterie 4 cellules et fonctionne sous Windows Vista Familiale Premium.
Il arbore un design qui le différencie de la concurrence avec sa coque à finition texturée.
La qualité de conception est bonne avec un châssis solide. Les plastiques résistent aux éraflures et dans l’ensemble, il fait moins ressortir les traces de doigts que certains concurrents. Au-dessous, un grand panneau facilite l’accès aux principaux composants et notamment à un emplacement pour carte 3G.
L’écran, moyen, affiche des couleurs et contraste corrects mais des angles de vision limités.
Les haut-parleurs sont corrects, les basses sont faibles. La connectique est bonne.
Le clavier qui ne fléchit pas sous la pression permet une saisie confortable silencieuse.
Le touchpad Synaptics glisse bien et s’avère précis avec un bon taux de rafraichissement. Les boutons sont bons mais demandent qu’une pression soit vraiment exercée jusqu’au bout.
Côté performances, il ne faut pas s’attendre à des miracles avec 2093 points sous PCMark05 et 614 points sous 3DMark06.
En pratique, les programmes se lancent plus lentement que de coutume, mais cela suffit à l’exécution de tâches basiques de type bureautique, surf et visionnage vidéo SD. En revanche, regarder une vidéo HD en multitâches entraine un ralentissement considérable du système.
La chauffe est plutôt bien contenue. Il n’est pas bruyant mais le ventilateur se fait un peu entendre.
Il affiche une petite autonomie de 3h35 avec Wi-Fi activé et luminosité à 70%.
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L’HP Pavilion dv6-1211sg testé possède un processeur Pentium Dual Core T4200 (2.0 GHz), 4 Go DDR2 de mémoire vive (8 Go max), un disque dur SATA de 500 Go à 5400 tr/min, une carte graphique Radeon Mobility HD4650 1 Go dédié, un écran 15.6’’ HD BrightView d’une résolution de 1366×768, une webcam avec micro, un graveur DVD LightScribe, un lecteur de cartes 5 en 1, un pavé numérique et des interfaces Wi-Fi b/g, HDMI, VGA, Firewire, ExpressCard54, Infrarouge, Casque (x2), Micro, Ethernet Gigabit et USB 2.0 (x4 dont 1 combo e-SATA).
Il est livré avec une batterie 6 cellules 47Wh, pèse 2.85 Kg et tourne sous Windows Vista Familiale Premium.
Il arbore un design attractif mais son châssis est plutôt massif. La conception est moyenne, avec une résistance à la pression qui parait un peu faible à certains endroits. La finition d’ensemble fait bien ressortir les traces de doigts.
La connectique est bonne avec la présence notable des ports Firewire et e-SATA.
Les haut-parleurs sont médiocres.
Le clavier fléchit un peu sous la pression, surtout au niveau de la zone des touches ZQSD. Le pavé numérique est étroit et la saisie imprécise et glissante, les touches possédant elles aussi une finition brillante.
De son côté, le touchpad fonctionne bien mais sa surface est glissante. Ses boutons sont eux bruyants.
L’écran affiche une résolution un peu limitée. Le contraste est peu élevé et entraine donc des noirs pâles ainsi que des couleurs pas vraiment lumineuses. Enfin, il est bien sujet aux reflets ce qui limite son utilisation en extérieur et ses angles de vision sont limités, surtout à la verticale.
La configuration est déséquilibrée avec d’un côté un processeur peu performant et de l’autre une bonne carte graphique. Le score global de 3004 points sous PCMark Vantage est bon et les 5569 points sous 3DMark06 et 2262 points sous 3DMark Vantage corrects.
En pratique, la carte graphique se voit brider par le processeur, de façon plus ou moins importante selon les jeux. Le portable affiche ainsi une moyenne de 36 fps sous Call of Duty en 1280×1024 (détails élevés, 4xAA), de 43.3 fps sous FEAR 2 (détails élevés, 4xAA), de 38.5 fps sous GRID en 1024×768 (0xAA), de 63.4 fps sous Anno 1404 (détails bas, 0AA, 0AF) et de 33 fps sous Crysis (détails moyens, 0xAA, 0xAF).
Le ventilateur tourne constamment et le portable se fait tout le temps entendre, surtout lorsqu’il est sollicité occasion où il est alors bien bruyant.
Il chauffe, notamment au-dessous vers la partie haute et le centre gauche.
Enfin, son autonomie est faible avec 1h30 de fonctionnement continu en surf sur Internet avec Wi-Fi activé et 1h22 en lecture DVD.
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Le Packard Bell Dot MR 070 possède un chipset AMD RS690E, un processeur Athlon L110 (1.2 GHz, 512 Ko de cache, FSB 800 MHz), 1 Go DDR2 de mémoire vive, un disque dur SATA de 160 Go à 5400 tr/min, un chipset graphique Radeon X1270 256 Mo dédiés, un écran 11.6’’ HD LED Ultrabright d’une résolution de 1366×768, une webcam 0.3 megapixel avec micro, un lecteur de cartes 5 en 1 et des interfaces Wi-Fi b/g, VGA, Casque, Micro, Ethernet et USB 2.0 (x3).
Il pèse 1.5 Kg avec sa batterie 6 cellules 4400mAh et fonctionne sous Windows Vista Familiale Basique.
On retrouve une configuration qui s’oppose au couple Atom N270 et GMA 950.
Côté design, le Packard Bell Dot M sous AMD ne se distingue en rien de son homologue sous Intel. Toutefois, il arbore une finition rouge plus originale. La conception est bonne et solide.
Le clavier et le touchpad sont agréables à l’usage. Cependant, la finition du repose-poignets n’est pas géniale. Il est possible d’accéder facilement aux principaux composants.
La connectique est classique, avec l’absence notable du Bluetooth. Le ventilateur qui tourne constamment est clairement audible. En contrepartie, le portable chauffe assez peu.
L’Athlon L110 se révèle souvent plus performant que l’Atom N270/N80 dans les tests synthétiques. Mais dans certains tests où entre en jeu notamment l’HyperThreading, c’est l’Atom qui arrive en tête.
Sous PCMark05, il obtient un score de 1597 points, soit autant que les meilleurs modèles sous Atom non ION. Avec 643 points sous 3DMark05, il offre des performances supérieures à un GMA 950 (242 points) mais bien inférieures à un ION (2230 points).
Son autonomie de 4 heures le situe dans la moyenne. Mais pour un modèle équipé d’une batterie 6 cellules, cela reste décevant.
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L’HannSpree HannsNote testé possède un chipset Intel 945GSE+ICH7M, un processeur Intel Atom N270 (1.6 GHz), 1 Go DDR2 667 MHz de mémoire vive, un disque dur SATA 2.5’’ de 160 Go, un chipset graphique Intel GMA 950 64 Mo, un écran 10.2’’ WSVGA LED d’une résolution de 1024×600, une webcam 1.3 megapixels avec micro, un lecteur de cartes 3 en 1 et des interfaces Wi-Fi b/g/n, VGA, Casque, Micro, Ethernet et USB 2.0 (x3).
Il pèse 1.277 Kg et fonctionne sous Windows XP Familiale avec une batterie 6 cellules 4400mAh.
Au premier abord, il ressemble à nombre de Netbooks du côté du design comme de la configuration embarquée.
Il bénéficie pourtant d’un clavier complet assez confortable et d’un touchpad fonctionnel.
Le lecteur de cartes est aisément accessible.
Son autonomie de 5 heures est inférieure à celles des meilleurs Netbooks qui tiennent bien plus longtemps.
Il est noté 7.5/10.
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