En cette veille de week-end, voici un test du HP ProBook 640.
Nous vous rappelons que les avis ci-après n’engagent que leurs rédacteurs. Nous nous efforçons dans la mesure du possible de retranscrire leurs sentiments et leurs propos de façon objective. Si vous êtes en désaccord avec les propos mentionnés, le plus simple est de prendre contact avec nos confrères.
La coque du HP ProBook 640 est principalement composée de plastique, avec quelques éléments en aluminium. La résistance est au rendez-vous. La connectique est assez fournie, avec 4 USB 3.0, un port SmartCard, un DisplayPort, un VGA et un lecteur de cartes. Il est possible en outre de raccorder le portable à une station d’accueil dédiée. L’accent est mis sur la sécurité, avec un lecteur d’empreintes digitales, un port verrou Kensigton et une puce TPM.
Le clavier offre un bon confort de frappe, sans atteindre le raffinement de la série EliteBook. Les touches sont spacieuses, grâce à l’absence de pavé numérique. Le touchpad est vaste, précis et réactif. Ses boutons sont agréables à actionner.
L’écran mat 14″ bénéficie d’une définition correcte de 1600×900 pixels. Son contraste et sa luminosité sont dans la moyenne. Les angles de vision de la dalle TN sont limités.
Les performances sont suffisante pour la majorité des utilisateurs. La configuration embarquée est assez véloce : Core i5-4200M, 4 Go de mémoire vive, un disque dur de 500 Go à 7200 tours/min. Ce dernier n’est pas aussi réactif qu’un SSD mais offre tout de même de bonnes vitesses de transfert. La puce graphique intégrée Intel HD 4600 limite en revanche les capacités 3D de la machine. La dissipation thermique est assez efficace, la ventilation est parfois désactivée au repos. En charge, le bruit émis dépasse une partie des concurrents, pourtant parfois mieux équipés.
L’autonomie atteint 4 heures et 43 minutes en navigation Internet via le WiFi.
Le testeur lui octroie la note de 83%.
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