Voici pour finir la semaine un test du dernier Ultrabook Acer, le Aspire Timeline Ultra M3.
Nous vous rappelons que les avis ci-après n’engagent que leurs rédacteurs. Nous nous efforçons dans la mesure du possible de retranscrire leurs sentiments et leurs propos de façon objective. Si vous êtes en désaccord avec les propos mentionnés, le plus simple est de prendre contact avec nos confrères.
Voici en détail les spécifications techniques de la configuration testée :
Dalle | 15.6’’ HD LED (1366×768) |
Processeur | Core i5-2467M (1.6 GHz, 2.3 GHz en mode Turbo, TDP 17W) |
Mémoire vive installée (max) | 4 Go DDR3 1333 (6 Go max dont 2 Go soudés) |
Espace de stockage | 500 Go HDD + cache SSD de 20 Go |
Carte(s) graphique(s) | NVIDIA GeForce 640M 1 Go + Intel GMA HD 3000 intégrée au processeur |
Lecteur optique | Graveur DVD Super Multi |
Système audio | 2 haut-parleurs stéréo |
Webcam | Oui, HD |
Réseau | Wi-Fi b/g/n + Ethernet |
Bluetooth | – |
Lecteur de cartes | SD, MMC |
Sortie(s) vidéo | HDMI |
Lecteur d’empreintes digitales | – |
Entrée(s) / Sortie(s) | Casque, Micro |
ExpressCard | – |
Firewire | – |
USB | 2 USB 2.0 & 1 USB 3.0 |
Système d’exploitation | Windows 7 Familiale Premium 64 bits |
Batterie | Lithium Polymère 3 cellules |
Autonomie annoncée | 8 heures |
Dimensions (mm) | 376 x 254 x 21 |
Poids | 2 Kg |
Garantie | 1 an |
Au premier regard, le Timeline Ultra M3 ressemble à un portable classique, mais agréable à l’œil. Il se démarque cependant par sa coque en alliage de magnésium et sa faible épaisseur. L’ensemble est très résistant, on ne dénote aucune zone ployant sous la pression. Il est le plus grand représentant de la gamme Ultrabook à l’heure actuelle. Le testeur regrette l’emplacement du bouton de mise en marche, situé sur la tranche frontale du portable. S’activant d’un effleurement de doigts, il se déclenche parfois involontairement une fois posé sur les genoux.
Son encombrement est compensé par l’offre connectique complète répartie principalement sur la tranche arrière du portable, la présence d’un lecteur optique et surtout une carte graphique dédiée, élément introuvable chez les Ultrabooks de diagonale inférieure. Un très bon point à noter est la facilité d’accès aux composants. Des trappes d’accès permettent d’accéder à la mémoire, au disque dur, au cache SSD et au module WiFi.
Le clavier chiclet n’est pas rétro-éclairé, mais offre un bon confort de frappe. Les touches sont silencieuses, il sera possible d’utiliser le portable sans déranger ses voisins de table. La rigidité de la coque est telle qu’aucune zone du clavier ne ploie sous la pression. Le touchpad cliquable est correct, mais peine parfois à reconnaître la différence entre un clic gauche et droit si on n’appuie pas bien au bord de la surface.
L’écran est affublé d’un traitement brillant, mais heureusement les reflets sont moins importants que sur la plupart des autres dalles du genre. La définition est faible pour une telle diagonale, avec 1366×768 pixels. Les couleurs ne sont pas trop saturées, le taux de contraste est dans la moyenne et les angles de visions assez étroits à la verticale.
Les haut-parleurs délivrent un important volume sonore et une qualité acceptable, mais le son est atténué du fait de leur placement. Ils sont en effet situés sous la coque du portable.
Les performances sont bonnes, la plupart des utilisations seront envisageables. Le cache SSD vient améliorer la réactivité du système. Et, grande première pour un « Ultrabook », les performances graphiques sont au rendez-vous. La carte NVIDIA intégrée est capable de faire tourner la plupart des jeux récents sans trop de compromis sur les détails graphiques.
La dissipation thermique est un peu juste, la partie centrale inférieure du portable chauffe trop pour un usage confortable sur les genoux. Le ventilateur tourne en permanence mais reste discret dans la plupart des scénarios.
L’autonomie mesurée est excellente, avec 8 heures et 38 minutes en surf avec le WiFi activé. La technologie Optimus est ici très utile, si la carte dédiée NVIDIA était activée en permanence le résultat serait bien moins intéressant.
Il obtient la note de 4/5.
Accédez au test du Acer Aspire Timeline Ultra M3 sur NotebookReview
Une réponse à “Revue de presse des tests publiés sur le Web (Acer Aspire Timeline Ultra M3)”
Je cite :
If you’re a gamer who doesn’t trust synthetic benchmarks then you might be interested in the fact that the GT 640M can play Battlefield 3 at more than 30fps at 1366×768 resolution with detail settings on HIGH.
Ha ben on nous avait dit : ULTRA !
Je reste quand même septique.