Test Acer Swift 7 SF714-52T, l’ultrabook le plus léger – très cher(s) grammes

Seulement 835g, fanless, moins de 10 mm d'épaisseur, écran borderless ZeroFrame

Cet ordinateur portable n'est plus vendu
L'ordinateur portable présenté ci-dessous a été commercialisé en 2019, et n'est plus en vente. Depuis, de nombreux modèles plus récents et mieux équipés ont vu le jour.

Test Acer Swift 7 SF714-52T, l'ultrabook le plus léger

Sur un marché concurrentiel, il est souvent difficile pour les fabricants de PC portable de se démarquer. Acer mise de son côté sur la finesse pour son Swift 7, le flagship des ultrabook de la marque. Cette troisième génération repousse encore un peu plus loin les limites de la mobilité en gagnant de précieux grammes sur la balance. Mais est-ce suffisant pour s’imposer ? Nous avons pu tester en avant-première le Acer Swift 7 pour tenter de répondre à cette question.

Caractéristiques de l’Acer Swift 7 SF714-52T

Dalle 14’’ Full HD LED IPS Tactile multi-touch Corning Gorilla Glass (1920×1080, brillante)
Processeur Intel Core i7-8500Y (1.5 GHz, 2 cœurs, TDP 5W)
Mémoire vive installée (max) 8 Go (soudés) LPDDR3 1333 MHz (8 Go)
Espace de stockage SSD M.2 NVMe PCIe de 512 Go
Carte graphique Intel HD 615 intégrée au processeur
Lecteur optique
Système audio 2 haut-parleurs
Webcam Oui, 720p avec micro
Réseau Wi-Fi ac
Bluetooth Oui, 5,0
Lecteur de cartes
Sortie(s) vidéo
Lecteur d’empreintes digitales Oui, compatible Windows Hello
Entrée(s) / Sortie(s) Combo Casque/Micro
USB 2 USB 3.1 Type-C dont 1 supportant DisplayPort
Système d’exploitation Windows 10 64 bits
Batterie Li-ion 2 cellules 32 Wh 2770 mAh
Autonomie annoncée 12 heures
Dimensions (mm) 318 x 192 x 10
Poids 850 gr
Garantie 2 ans
Autre Clavier chiclet rétro-éclairé, touchpad multi-touch
Logiciels Applications Acer

Châssis / Design de l’Acer Swift 7 SF714-52T

Sobriété, c’est sans doute l’adjectif qui sied le mieux à ce Swift 7. Si le coloris noir de notre modèle se fondera sans difficulté dans un environnement de travail, Acer propose également une déclinaison blanche de son ultrabook. Plus lumineuse et tout aussi réussie visuellement. Autre avantage, elle sera sans doute bien moins sensible aux traces de doigts, le coloris noir étant un véritable aimant à empreintes.

Le logo Acer arbore quant à lui un coloris cuivré brillant qui participe à l’aspect premium de cet ultrabook.

Par rapport à la précédente génération, peu de changement si ce n’est la disparition des charnières autrefois visibles lorsque l’ordinateur était fermé. La finition est dans la lignée de son prédécesseur, tout simplement parfaite. Le châssis en magnésium offre une excellente rigidité.

Test Acer Swift 7 SF714-52T, l'ultrabook le plus léger

Et malgré une finesse extrême (inférieure à 10 mm), au point de trouver un HP Spectre 13 « imposant » à côté, la sensation de robustesse est saisissante dès la première prise en main. Si le design progresse peu, Acer a réussit à gagner près de 300g, le Swift 7 SF714-52T se contentant désormais de seulement 835g sur la balance ! C’est tout simplement le PC portable le plus léger du moment. A titre de comparaison, une Surface Pro 6 pèse 770g mais sans son clavier.

Test Acer Swift 7 SF714-52T, l'ultrabook le plus léger

L’intérieur est à l’avenant, toujours aussi sobre. Le mécanisme de charnières désormais invisible permet quant à lui de gagner en « élégance ».

Test Acer Swift 7 SF714-52T, l'ultrabook le plus léger

La face inférieure présente des vis et peut donc logiquement être démontée. Toutefois, pour l’utilisateur, cela ne présentera que peu d’intérêt, seul le SSD pouvant être remplacé.

Petite parenthèse, il est souvent reproché aux ordinateurs portables récents de ne pouvoir ôter la batterie en cas de problème notamment. A l’image de ce Swift, de plus en plus de modèles disposent d’un petit bouton pour simuler un « reset » en appuyant quelques secondes à l’aide d’une aiguille par exemple.

Connectique / Ports de l’Acer Swift 7 SF714-52T

Avec un châssis compact, rien d’étonnant à ce que la connectique soit des plus minimalistes. Du moins de prime abord puisque les deux ports Thunderbolt 3, outre la charge, permettent de connecter une large variété de périphériques grâce au câble idoine. Un port casque / micro complète le lot.

Acer fournit également un mini-dock avec port HDMI, USB Type A et un port USB-C qui autorise la charge. Une housse de protection en cuir est aussi de la partie.

Système audio de l’Acer Swift 7 SF714-52T

Test Acer Swift 7 SF714-52T, l'ultrabook le plus léger

Si la puissance des deux enceintes situées en dessous du châssis n’appelle pas de critique particulière, le rendu assez métallique ne fait pas grande impression. Lorsque le Swift est posé sur une surface plane, l’effet « caisse de résonance » améliore sensiblement le rendu mais si l’ordinateur est en équilibre sur les genoux, le manque de profondeur est criant. Nous ne pouvons que recommander l’utilisation d’un casque ou d’une enceinte Bluetooth pour les amateurs de musique.

Clavier / Touchpad de l’Acer Swift 7 SF714-52T

Si les touches profitent de dimensions assez classiques (15,4×14,4 mm), la finesse du châssis implique une course très courte (0,8 mm). La frappe est donc un peu plus sèche que sur d’autres ultrabooks concurrents mais pas autant que celle des derniers Macbook. L’adaptation reste donc assez aisée et la majorité des utilisateurs n’éprouvera aucune difficulté à retrouver sa vitesse habituelle de frappe. Le bruit est feutré, vous n’attirerez donc pas tous les regards en réunion ou dans une bibliothèque.

Les touches profitent d’un rétro-éclairage blanc. Malheureusement, l’intensité ne peut être ajustée, il est uniquement possible de l’allumer ou de l’éteindre. Autre grief, il s’éteint automatiquement au bout d’une trentaine de secondes et ne se réactive que lors d’un nouvel appui sur une touche.

Le touchpad présente une forme très allongée (139×50 mm). La hauteur plus étriquée implique de reprendre ses marques, notamment pour l’exécution des gestes multitouch. Sa surface en verre assure une glisse plus agréable et plus précise.

Enfin, sur la droite du clavier se trouve le bouton de mise sous tension qui cache par ailleurs un lecteur d’empreinte digitale. Compatible Windows Hello, ce dernier permet de déverrouiller sa session simplement en apposant son doigt sans avoir besoin de saisir son mot de passe.

Les photos montrent un clavier qwerty mais les Swift 7 commercialisés en France sont bien entendu livrés avec clavier azerty

Ecran de l’Acer Swift 7 SF714-52T

L’écran, ou plutôt son « design » constitue LA nouveauté de cette dernière génération de Swift 7 en affichant un impressionnant ratio châssis/écran de 92% ! En pratique, cela se matérialise par des bordures minimalistes de moins de 4 mm d’épaisseur. Esthétiquement, ce design ZeroFrame est une réussite.

Pour garantir une bonne rigidité, l’écran reçoit un verre Corning Gorilla Glass 6. Ce dernier est particulièrement brillant, heureusement, la luminosité élevée (342 cd/m2 au maximum) permet de s’accommoder des reflets dans la plupart des environnements. La dalle est tactile mais en l’absence de charnières rotatives sur 360°, l’intérêt reste limité. Bien sur, il est parfois agréable ou rapide d’appuyer sur l’écran pour ouvrir un programme, cliquer sur un lien ou faire défiler une page mais l’expérience reste en-deçà de celle offerte par un PC portable convertible.

Côté colorimétrie, la dalle IPS (AU Optronics AUO603D B140HAN06) couvre 104% de l’espace sRGB (72% de l’Adobe RGB / DCI-P3). Le taux de contraste s’établit à 1216:1 et le DeltaE moyen à 0,27 après caractérisation.

Acer a choisi de ne pas faire l’impasse sur la webcam mais a dû composer avec ce design borderless. Conséquence, la webcam se retrouve intégrée au dessus du clavier. Avantage, elle sera le plus souvent masquée ce qui rassurera certains utilisateurs. Inconvénients, l’angle de champ n’est pas des plus valorisants et implique d’être éloigné d’au moins 50 cm de l’ordinateur pour être visible de son interlocuteur. Impossible de le tenir sur ses genoux ou de continuer à utiliser le clavier tout en faisant une visio-conférence. Autre reproche, son mécanisme « pop-up » (la webcam se soulève à l’appui) un peu « cheap », dénote quelque peu avec l’aspect premium de l’ultrabook.

La qualité est en revanche satisfaisante avec des images bien détaillées en journée. Dès que la luminosité décline, le bruit apparaît mais cela reste toutefois un peu mieux que la moyenne.

Performances de l’Acer Swift 7 SF714-52T

Nous aimons à le répéter mais choisir son futur PC portable rime (souvent) avec concessions. Le Swift 7 est une bonne illustration de ce principe puisque la finesse de son châssis lui impose d’embarquer un processeur très basse consommation, un Core i7-8500Y. Et ne vous laissez par berner par l’appellation Core i7, il s’agit ici d’un processeur double cœur offrant une fréquence nominale de 1.5 GHz aux performances modestes.

En pratique, pour naviguer sur Internet, gérer sa messagerie Outlook (ou Lotus), consulter des tableaux Excel, des présentations PowerPoint ou encore des vidéos en ligne, ses performances s’avèrent suffisantes. Un utilisateur averti pourra parfois sentir que le processeur s’essouffle quelque peu mais dans la majorité des cas, il « fera le job ».

Certains photographes ou vidéastes pourraient sans doute être tentés de faire du Swift 7 leur compagnon de voyage, séduits par son poids plume et son encombrement réduit. Pourquoi pas, mais gardez bien en tête qu’il n’est pas taillé pour autre chose que vider ses cartes SD / CF / XQD. Bien sur, vous pouvez installer Photoshop, Lightroom ou encore Première mais la moindre tâche a minima exigeante demandera plusieurs minutes. A titre d’exemple, l’export de 100 photos sous Capture One demande plus de 15 min contre 9 min sur le Huawei MateBook 13. Sous Davinci Resolve, l’export d’une séquence de 2m montées prend plus de 12 min contre 5m25 sur le Huawei.

Haut de gamme oblige, le SSD (SK Hynix BC501) est à la norme NVMe et offre donc par conséquent de solides performances (dans les benchs). En fonction des déclinaisons, la mémoire vive sera de 8 ou 16 Go. Etant donné la faible différence de prix, nous vous conseillons sans hésiter les modèles dotés de 16 Go de RAM, d’autant que, rappelons-le, la mémoire vive est soudée et ne pourra donc évoluer.

Nuisances sonores / Bruit / Températures de l’Acer Swift 7 SF714-52T

Avantage d’un processeur frugal, il est possible de faire l’impasse sur la présence d’un ventilateur. Le Swift 7 est donc un PC portable fanless, totalement silencieux.

Côté températures, après plusieurs minutes de charge intensive, le repose poignet droit devient tiède au toucher, tout comme le dessous du châssis mais dans une moindre mesure. Rien de gênant en pratique, du moins à cette époque avec une température ambiante autour de 23°C.

En interne, aucun souci. Le processeur affiche une température moyenne comprise entre 60 et 65°C et n’a jamais dépassé les 72°C (avec une température ambiante de 22-24°C).

Autonomie / Batterie de l’Acer Swift 7 SF714-52T

Autre corollaire d’un châssis compact et léger, la batterie se doit de rester contenue. Avec une autonomie moyenne d’environ 9h15 (WiFi actif, luminosité à 140 cd/m2), le Swift 7 pourra répondre aux besoins de la plupart des utilisateurs. Une autonomie confortable mais comparable à celle offerte par d’autres ultrabooks plus performants mais un peu plus « lourds ».

En activant le mode avion, l’autonomie grimpe à plus de 21h. A l’inverse, avec la luminosité au maximum et sollicité de façon soutenue, il est possible de tenir 3h20 éloigné d’une prise de courant. En cas de besoin, le Swift 7 étant peu gourmand en énergie et doté d’un port USB Type C pour la charge, il est possible d’envisager l’utilisation d’une batterie externe pour prolonger l’autonomie.

Test Acer Swift 7 SF714-52T, l'ultrabook le plus léger

Le bloc d’alimentation est compact (95x26x27 mm) et léger (277g). La longueur du câble est d’environ 2,5m. En revanche, Acer pourrait s’inspirer de la concurrence pour accorder un peu plus de soin au design de son chargeur. Ici, et malgré le positionnement premium, le bloc d’alimentation est similaire à celui d’un PC portable d’entrée de gamme. C’est bien entendu sans impact au quotidien mais c’est le genre de détail auquel certains utilisateurs prêteront attention.

Notre avis sur l’Acer Swift 7 SF714-52T

Il y a quelques mois, le Swift 7 nous avait déjà fait forte impression. Cette nouvelle version (SF714-52T) s’avère tout aussi attachante. Son format encore plus compact lui permet de nous accompagner partout et, avec plus de 300 grammes gagnés, de se faire oublier au quotidien. Les PC portables ultra-légers ne sont pas nouveaux mais rares sont ceux à laisser transparaître une telle sensation de robustesse. Un sentiment qui perdure et sonne comme sa marque de fabrique.

Si ses atouts ne manquent pas, le Swift 7 est avant tout une démonstration du savoir faire des équipes Acer pour concevoir des ultrabooks haut de gamme, capables de rivaliser voire dépasser les ténors du segment. Et si la concurrence semble parfois se perdre dans des artifices à l’utilité discutable, Acer se concentre sur l’ADN d’un PC portable, la mobilité.

D’aucuns trouveront sans doute cette vision un peu trop « jusqu’au boutiste », ces quelques grammes gagnés ayant une incidence sur les performances. Et il faut effectivement en avoir conscience au moment de l’achat. Mais si cela vous convient, le Swift 7 sera un parfait compagnon du quotidien !

L’Acer Swift 7 SF714-52T obtient la note de 4,5/5

Découvrez les différentes configurations de l’Acer Swift 7 SF715-52T actuellement en vente
Points forts
Seulement 835g
Ecran ZeroFrame
Rigidité sans faille
Thunderbolt 3
Fanless
À revoir
Intérêt du tactile discutable
Performances limitées à avoir en tête
Angle de la webcam
Rétro-éclairage clavier
Quel PC portable est fait pour vous ?
5 questions, moins d’une minute ! LaptopSpirit s’occupe du reste !
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7 réponses à “Test Acer Swift 7 SF714-52T, l’ultrabook le plus léger – très cher(s) grammes”

  1. Je rajouterais le manque de connectique en points negatifs mais si Acer fournit l’adaptateur (que l’on oublie/laisse souvent chez soi) les 2 pauvres USB-C est un handicap surtout que ce format n’est toujours pas très répandu (contrairement à ce qu’on nous a vendu comme format universel qui va TOUT remplacer)
    C’est vrai qu’en enlevant tout port et les remplacer par l’USB-C permet de gagner en épaisseur.
    Mais à quel prix sur l’ergonomie.

    Perso je préfère les Swift 5 et 1 qui sont suffisamment fin (environ 15 mm) et possède toujours des ports standard.
    D’ailleurs le récent Swift 5 SF515 n’est pas très loin en gain de poids et finesse.

    A voir ce qu’Acer nous réserve pour la gamme ultra portable 2019 (ils ont déjà présenté toutes leurs gammes gaming il reste la gamme PC portable conventionnel et ultra portable)

  2. Si tu prenais la peine de lire nos tests plutôt que t’empresser de commenter en réagissant sur le petit tableau de synthèse de la conclusion, tu aurais remarqué que ce ne sont pas de simple ports USB-C mais des ports Thunderbolt 3 qui sont présents donc oui les les possibilités sont bien infinies en ce qui concerne la connectique.

    Alors oui pour ta vieille clé USB ou ton imprimante qui ne supporte pas la mise en réseau, il faudra utiliser un adaptateur. Mais pour le reste avec un seul port Thunderbolt, on pourra aussi bien brancher un SSD/HDD externe qu’un écran 4K (HDMI, DisplayPort ou peu importe en fait et c’est bien l’avantage de ce port c’est que tu n’es en rien limité au type de port présent sur un PC) qu’une station d’accueil qui elle, simplement grâce à ce petit câble pourra assurer la charge mais aussi la connexion instantanée de 5/6 périphériques sans broncher. On peut aussi ajouter l’avantage de chainer les périphériques voire parler de boîtier eGPU même si ici cela n’a aucun sens. Donc si tu ne vois toujours pas l’intérêt de celle nouvelle connectique « limitée selon tes dires » c’est qu’au final tu n’as aucun autre besoin que celui d’être rassuré par la présence de tes fidèles ports USB-A et HDMI que tu connais depuis des années !

    Et c’est passer à côté de la philosophie de ce type de machine que de le comparer à un 15 pouces, même léger et peu encombrant comme le sont les Swift 5. Un spectre 13 pourtant compact paraît déjà une « brique » comparé à ce petit Swift 7…

  3. C’est pas l’USB C qui pose problème , c’est de devoir se trimbaler des adaptateurs pour pouvoir brancher la majorité de nos périphériques . Un port carte SD aurait était possible et non un luxe . Très bon pc mais avec quelques lacunes comme la ram soudé et la batterie un peut faiblarde ( mais certain pc font pas mieux ) .

  4. Si si je lis mais le plus souvent en diagonal (en commençant pas la conclusion puis l’article)

    Oui c’est un port USB-C Thunderbolt qui est très rare sur les PC.
    Oui on peut venir y brancher tout ce que l’on veut… mais à condition d’avoir l’adaptateur ou le câble spécifique (comme par exemple USB-C vers HDMI pour un TV qui ne possède pas l’USB-C Thunderbolt) ce qui rend au final le port moins universel et pratique que l’on veut nous faire croire.

    Je trouve ce type de PC portable à la Apple peu intéressant (et apparemment je ne suis pas le seul)
    Je préfère de loin acheter un PC conventionnel qui possède encore de vieux ports qui n’ont pas besoin adaptateur.
    J’espère que ce genre de PC n’est pas l’avenir et que les fabriquants continueront à nous proposer des PC conventionnels.

    J’ai remarqué que de plus en plus de personnes achètent des PC type gaming même s’ils ne jouent pas.
    Car ils se dit à tort ou à raison que ce type de PC est plus résistant et durera plus longtemps.
    Asus semble l’avoir aussi remarqué car ils ont sorti le Zephyrus GA502 qui semble viser ce type d’utilisateur.

    PS : Mon commentaire n’était pas une attache contre l’article mais juste mon point de vue qui est différent des vôtres et je trouve que ça peut être une bonne chose d’avoir un autre point de vue mais apparemment ce n’est pas ce que vous pensez.
    Donc la prochaine fois je m’abtiendrais et me contenterais de lire tous les nombreux commentaires que vous aurez en fin d’article.

  5. Oui, c’est ton point de vue, t’as parfaitement le droit de l’exprimer et moi d’y répondre.

    Et je maintiens que sur ce type de config où on cherche à gagner chaque gramme et chaque millimètre, la présence de seuls ports TB3 n’est pas un point faible, c’est logique d’un point de vue technique. Notre rôle est de prendre du recul, analyser, comprendre pas se contenter de dire mécaniquement qu’il manque si ou ça, de la même façon sur un modèle de 835g que sur une brique de 4 Kg.

    Les PC gamers se vendent parce que ce sont les seuls à embarquer des hexacore (ou octocore dans les prochains mois) avec de bonnes CG à prix abordables.

    (Oui, tu lis en diagonale, on le sait bien puisque la plupart du temps tu paraphrases des remarques qu’on a fait, ou comme dernièrement tu nous reproches de ne pas être francs alors que l’explication est dans l’article. Et désolé, mais un test comme ça, c’est des dizaines d’heures de taf derrière donc oui, on apprécie moyen ta lecture rapide en diagonale).

  6. Je suis fan du design.
    Mais c’est pas dans mon budget.
    Le prix pourrait baisser un peu en mettant un core i5-8200Y.
    Et pareil, je ne vois pas l’utilité de l’écran tactile brillant.
    Je préfère un écran mat non tactile.
    Ainsi, le prix pourrait baisser un peu tout en augmentant l’autonomie.

  7. C’est vrai qu’il est beau 😍 j’aurai jamais cru dire ça un jour d’un Acer ^^

    faut arrêter de vous prendre le choux avec l’usb c, j’y suis passé avec mon dernier xps ca m’a couté 50 balles pour 3/4 cables, une clé usb sandisk double connectique et un mini adaptateur trouvé sur amazon. Depuis je le vis très bien, c le pied de recharger sur le premier port qui vient et surtout ne plus avoir besoin de chercher le sens lol

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