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Packard Bell Dot M – Design intérieur

L’intérieur est tout aussi sobre que l’extérieur. Si le coloris est toujours noir, les surfaces sont désormais mates. Un point appréciable au quotidien, les traces étant bien moins visibles.

L’écran

Le Dot M dispose d’une dalle de 11.6 pouces. Les quelques centimètres supplémentaires par rapport aux 10 pouces d’un netbook permettent de bénéficier d’une surface d’affichage bien plus confortable avec une résolution de 1366×768. Par rapport à une dalle WSVGA (1024×600) d’un netbook, l’apport au quotidien des quelques dizaines de pixels supplémentaires est bien visible. Concrètement, il n’est plus nécessaire de scroller en permanence pour parcourir l’intégralité d’un document ou d’une page Internet.

La dalle dispose d’un traitement brillant. Cependant ce dernier n’est pas très marqué. Conséquence, les reflets sont peu présents et l’effet miroir rencontré sur certains modèles concurrents n’est ici pas d’actualité. Un bon point pour une machine nomade dont la vocation est d’être utilisée en extérieur.

De plus, avec neuf positions de réglages, la luminosité est bien étagée et permet de trouver l’intensité appropriée à la plupart des situations et des utilisateurs.

Les angles de vision horizontaux sont assez ouverts. A l’inverse, les verticaux sont bien plus fermés. L’affichage varie donc assez rapidement dès que l’utilisateur change de position ou modifie l’inclinaison de la dalle. Une caractéristique propre aux dalles de technologie TN présentent sur la quasi-totalité des portables commercialisés.

Les charnières sont fermes et assurent à la dalle un bon maintien quelque soit sa position.

La webcam

Une webcam est intégrée au montant supérieur de la dalle. Elle bénéficie d’une résolution de 0.3 MP. La qualité d’image délivrée est plutôt moyenne. Le bruit est assez présent, y compris lorsque les conditions d’éclairage sont bonnes. De plus, les images manquent de piqué.

Il est possible de régler certains paramètres afin d’améliorer sensiblement la situation mais il ne faut pas s’attendre à un miracle. Par conséquent, la webcam intégrée est à réserver à un usage occasionnel.

Le microphone, situé à côté de l’objectif sur le montant supérieur de la dalle, est plus convaincant. Son emplacement permet de bien capter la voix sans être trop sensible aux bruits parasites. Par exemple, on pense notamment à l’utilisation du clavier durant une visio-conférence.

Le clavier

Packard Bell a su exploiter à bon escient la place disponible sur le châssis pour intégrer des touches bien dimensionnées (17×17 mm).

La frappe est assez agréable mais nécessite un petit temps d’adaptation avant de retrouver une bonne fluidité, l’espacement d’à peine deux millimètres entre les touches étant très réduit. Certains utilisateurs préféreront sans doute se tourner vers un modèle doté de touches légèrement moins bien dimensionnées mais plus espacées. Un choix avant tout personnel en fonction des habitudes de chacun.

Si la taille des touches est satisfaite, la qualité du clavier laisse un sentiment plus mitigé. En effet, plusieurs zones laissent apparaitre un manque de rigidité assez marqué si l’utilisateur a une frappe assez vive. Rien d’alarmant toutefois, mais sur ce point, la concurrence est généralement mieux lotie.

Le bruit délivré lors de la frappe est en revanche discret et assez feutré.

Les reposes poignets disposent d’une surface non lisse composée de petits cercles. Il s’agit avant tout d’un élément de design même si le toucher est plutôt agréable.

Le touchpad

Avec des dimensions de 65×39 mm, le touchpad dispose d’une surface correcte pour un modèle de 11.6 pouces. La réactivité est bonne et le revêtement lisse procure une glisse efficace.

La barre de boutons est en un seul bloc. Contrairement au clavier, la rigidité est ici au rendez-vous.

Températures – Nuisances sonores

Au toucher, les reposes poignets restent à températures ambiantes. Le dessous du châssis est pour sa part légèrement tiède après quelques heures d’utilisation. Nous avons relevé des maximas de 37°C pour le processeur et de 58°C pour le processeur. Des valeurs situées dans la moyenne de celles généralement constatées.

Du côté des nuisances sonores, le constat est moins réjouissant. Le ventilateur tourne en permanence. Si lorsque le processeur est peu sollicité, le bruit reste discret, la situation de dégrade rapidement lorsque la charge augmente. Le souffle est alors audible. Rien d’alarmant mais les amateurs de silence risquent de ne pas apprécier.

sommaire

Sommaire de ce test

Page 1 : Introduction et sommaire
Page 2 : Design extérieur
Page 3 : Design intérieur
Page 4 : Performances / Autonomie
Page 5 : Conclusion