Acer a choisi un design très sobre pour sa gamme Timeline. Point de revêtement glossy, en général plus sujet aux traces de doigts, ni de couleur flashy au programme.
Le Timeline 5810T séduira donc aussi bien les particuliers que les utilisateurs professionnels à la recherche d’un portable discret.
Vue de face
Au centre, vous pouvez apercevoir le lecteur de carte mémoire et une led intégrée juste au-dessus.
Cette dernière s’illumine en bleu et en orange lorsque la batterie est respectivement chargée et en charge.
Côté gauche
De gauche à droite, sont intégrés, l’attache antivol Kensington puis les ports USB (x3), VGA, HDMI, l’entrée micro et la sortie casque.
Côté droit
Malgré la finesse de son Timeline, Acer a réussi à intégrer un lecteur optique traditionnel. Le reste de la connectique est également présent sur ce côté, à savoir, un port USB supplémentaire, un port Ethernet ainsi que la prise destinée à l’alimentation secteur.
Vue arrière
Seule la batterie est visible ici.
Vue de dessous
L’Acer Timeline 5810T possède une unique trappe permettant d’accéder rapidement et simplement aux composants internes.
Un emplacement pour une carte SIM est présent derrière la batterie. Acer semble donc avoir prévu de commercialiser dans l’avenir des modèles équipés d’une puce 3G afin d’accéder aux réseaux mobiles sans avoir besoin de recourir à une clé 3G.
Epaisseur comparée à une pile AAA
Avec une hauteur d’environ 24 mm seulement, le Timeline 5810T présente une épaisseur inhabituelle pour un modèle de 15,6 pouces. Sa finesse permet de le glisser facilement entre deux documents même si son encombrement et son poids (2.4 kg) risquent de limiter son attractivité pour les vrais utilisateurs nomades.
Cette première prise en main avec le Timeline est agréable. En effet, le modèle bénéficie d’un design sobre, d’une finition soignée et d’un encombrement plutôt bien contenu pour un 15.6 pouces.
Sommaire de ce test
Page 1 : Introduction et sommaire
Page 2 : Design extérieur
Page 3 : Design intérieur
Page 4 : Performances / Autonomie
Page 5 : Conclusion